1191 résultats pour "mini test"

Mini Motorways - Carrefour city

Ils rendraient la compta ludique, la chirurgie simpliste, le parachutisme apaisant. En 2015, Dinosaur Polo Club a hypnotisé tout le monde avec Mini Metro, un jeu adorable et minimaliste où l’on traçait les lignes de métro de grandes métropoles. Aujourd’hui, c’est au tour des voitures de bénéficier de ce traitement irréprochable sur PC, après deux ans sur iOS.

Delores : A Thimbleweed Park Mini-Adventure - Point and cliché

Un beau matin de mai, Ron Gilbert, génial créateur de Maniac Mansion et Monkey Island, a décidé d’offrir au monde une petite aventure qui reprend exclusivement des éléments de son dernier jeu, Thimbleweed Park – auquel il n’est pas nécessaire d’avoir joué au préalable, mais auquel vous devriez sincèrement jouer si vous aimez les point and click, les énigmes et le simple fait de rire à gorge déployée. On y retrouve le personnage de Delores, qui revient dans sa ville natale paumée pour embrasser une brève carrière de photojournaliste.

Minami Lane - Mon mini-Totoro

On ne mesure que trop bien à quel point l’industrie du jeu vidéo peut broyer ses travailleurs, entre productions à rallonge, périodes de crunch et pressions en tout genre. Alors oui, la démarche derrière Minami Lane, mini-jeu de gestion japonisant, m’a fait très plaisir. Pour leur propre bien-être, les créateurs ont décidé de concevoir petit dans un court laps de temps.

Final Fantasy VII Rebirth - Alma Materia

Final Fantasy, c’est un peu chacun de nous, un morceau d’enfance japonaise qui s’est immiscé dans nos territoires pour faire la conversation avec nos imaginaires. D’un côté, la licence se connecte aux souvenirs individuels et collectifs, une saga qui a forgé sa légende dans les feux du grand récit, du spectacle à tout crin, et de la chambre d’adolescent. De l’autre, à la nostalgie rassurante d’un Dragon Quest, Final Fantasy substitue une approche nihiliste, qui absorbe les poncifs du médiéval fantastique et de la science-fiction à l’occidentale pour les recracher dans un contre-exotisme addictif.

Super Mario RPG - Peach and love

« Bienheureux les simples d’esprit, car le royaume des cieux leur appartient », a dit un jour je ne sais plus quel bouquin. Pour le royaume des cieux, je suis pas très sûre, mais pour le Royaume champignon, perso, je le sens bien.

Chessarama - Plus mat que brillant

Les échecs. Ce loisir si intimidant que même les individus les plus dignes, qui ne s’abaisseraient jamais à une partie de jeu de plateau, admirent discrètement ses pratiquants. Ce sport noble et millénaire que Chessarama a décidé de moderniser. On lui souhaite bien du plaisir.

Avatar Frontiers of Pandora
Avatar : Frontiers of Pandora - Pourtant, que la montagne est belle

Clic. F12. F12. Clic. F12. F12. Après deux heures devant Avatar : Frontiers of Pandora, j’avais assez de captures d’écran pour garnir votre média spécialisé préféré d’un diaporama à couper le souffle. Mais, malheureusement pour le jeu, vous payez pour lire des mots.

Marvel's Spider-Man 2 - The Amazing routine

Michael Bay a joué, puis a posé la manette doucement. Se levant sans un mot, il a fait trois pas pour faire face à la baie vitrée de sa villa de Poucave-en-Brie. Les yeux dans le vague, il a murmuré : « Trop d’explosions, trop d’action, je ne pensais pas que quelqu’un pouvait me faire ressentir ça. » Puis, il a cliqué sur un interrupteur caché dans sa poche et tout a pété. Il fait ça pour toutes ses sorties.

Lords of the Fallen - Évangile de la Tourette

Invoqué par de viles âmes rongées par la corruption et le péché, Adyr le démon est de retour pour ravager les terres de Mournstead. Pour refouler cette fange diabolique, faire bouffer aux dévots du Malin leur exemplaire dédicacé du Temps des tempêtes, un héros se dresse. Sa Sainteté Jean-Paul II, descendu du carré or du paradis dans une papacalèche tractée par cent poneys Shetland ailés. Rencontre.

Total War : Pharaoh - Hiéroglyphes and let die

Il faut reconnaître un talent à Creative Assembly : ils ne baissent jamais les bras. On aurait pu penser qu'après avoir raclé les fonds de tiroir de l'Histoire depuis deux décennies pour nous trouver de nouvelles guerres à mener, ils allaient faire une petite pause. Peut-être même changer d'air, s'essayer à un nouveau style en vogue comme le visual novel ou le dating sim. Que nenni.

Fading Afternoon - Lost in rhumatismes

Je déteste Fading Afternoon. Fading Afternoon est âpre, Fading Afternoon est compliqué, Fading Afternoon bugue. Je le sais, j’y passe ma vie. Bon, j’y retourne.

Dave the Diver - Un jeu drôle façon Plongeons & Harpons

Pardon. Nous sommes totalement passés à côté de Dave the Diver lors de sa sortie en version anticipée l'année dernière. J'assume pleinement la responsabilité de cet échec et j'en tire les conclusions en me retirant de la vie vidéoludique (*cris de la foule*) dès la fin de ce test. Bon, après, j'ai une excuse : sur sa page Steam, Dave the Diver est présenté par ses propres développeurs comme « une aventure casual ».

Shadow Gambit : The Cursed Crew - Antilles de contact

Après les samouraïs (Shadow Tactics) et les cow-boys (Desperados 3), Mimimi Games aurait pu facilement embrayer sur d’autres civilisations tout aussi sérieuses et populaires : les Vikings, la Rome ou l’Égypte antique, le Puy du Fou. Mais nos joyeux lurons allemands ont opté pour une ambiance Pirates des Caraïbes, magie et humour inclus. Alors : jambe de bois ou poulie d’or ?

Final Fantasy 16 - L'enfer est pavé de bonnes invocations

Final Fantasy 16 s’ouvre sur une pleine lune, un astre qui domine un ciel sombre s’étendant par-delà océans, montagnes et forêts ; une esquisse d’une terre meurtrie qui reprend son souffle avant de succomber à la folie des hommes. Alors que des intrigues de cour se fomentent dans les couloirs délaissés et que les capitales s’apprêtent à s’embraser, des amours de jeunesse s’épanchent sur le balcon d’une citadelle, déclamant des prières d’éternité face à la nuit comme seul juge. Des mots légers mais sincères qui disparaissent dans le noir, une antichambre de la destruction en marche.

To Hell with the Ugly - Note bleue pour polar noir

Rock Bailey a bientôt 20 ans et le monde à ses pieds. Il faut dire qu’il est très populaire auprès de son entourage, malgré son narcissisme exacerbé et sa capacité toute particulière à balancer des répliques type « Les bosses que font mes muscles sont les apparences trompeuses sous lesquelles se cachent un petit cœur battant » (même si c’est à peu près comme ça que j’imagine les monologues intérieurs d’ackboo).

Street Fighter 6 - Les amants d’Ippon-Neuf

Il n’y a qu’une vérité sur Street Fighter : nous sommes tous mauvais, « tous des sacs ». Un nouveau Street, c’est l’autoroute vers l’humiliation, les défaites cinglantes et les combos ratés. Et c’est un problème pour Capcom.

Dredge - Chalut les copains

En commençant ce texte, je me suis dit : « Tiens, je juge Dredge. » Voilà, maintenant j’ai l’image de Sylvester Stallone, canne à pêche à la main, hurlant à un brochet : « Je suis la Loi ! » et je rigole comme un demeuré depuis dix minutes. Que voulez-vous ? J’ai cinq ans.

Have a Nice Death - Fauche qui peut

Une sensation d’étouffement, la tête qui tourne, les larmes qui montent : vous avez déjà enduré ça une fois assis à votre bureau ? Si oui, je suis presque sûre que, comme moi, vous avez subi un burn-out. C’est donc en toute logique que la perspective de jouer la Mort, alors qu’elle décide de reprendre les rênes d’une entreprise peuplée de subordonnés qui en font trop, m’est apparue comme particulièrement plaisante.

Resident Evil 4 - C’est la secte au village

Le premier Resident Evil 4 est l'un de mes jeux préférés de tous les temps, et pour cette raison, je vais tenter de faire parler la critique professionnelle plutôt que la fan invétérée. Laissez-moi donc vous expliquer, en toute objectivité et sans la moindre once d’aveuglement, pourquoi Resident Evil 4 est un bon remake, selon la très sérieuse Commission des gens sensés qui aiment vraiment le jeu vidéo.

Tails : The Backbone Preludes - Un poil rasoir

J’attendais le retour du raton détective avec impatience. Parce que j’adore les ratons laveurs, comme tout être humain normalement constitué, mais surtout parce que Backbone m’avait laissé un excellent souvenir avec sa direction artistique à la Blacksad, son ambiance roman noir et sa critique de la société de classe.