7 résultats pour "rouille en or rust"

Rust - Le solo, ce diamant brut caché au cœur de Rust

Avec ses bases vulnérables à des pillages au cœur de la nuit, Rust compte parmi les jeux multi les plus brutaux, les plus impitoyables. Pour profiter de son monde ouvert fabuleux, bourré de liberté, de beauté et de mystère, il faut donc faire partie d’un groupe de vétérans soudés ou être prêt à veiller jusqu’à l’aube en solitaire. À moins de le transformer en jeu solo.

Sweet Transit - Colon-scopie

Le titre de ce jeu me fournit enfin l’aubaine que j’attendais. L’occasion d’aborder un sujet qui a été systématiquement refusé, censuré, supprimé par ma hiérarchie. J’ai proposé un hors-série dédié, une émission spéciale, une newsletter. Mais mes prétendus « supérieurs », des bobos déconnectés du réel, n’ont jamais voulu que nous ayons une conversation saine sur ce sujet fondamental. Je veux parler du caca.

Compatibilité Twitch oblige, le jeu dispose déjà d'un mode spectateur fort puissant, où l'on peut se balader à loisir sur la carte en envoyant des émojis aux joueurs.
SOS - Anarcho-Lanta

Je l'entendais encore hier dans notre immeuble grouillant de startuppeurs : sans network pour fédérer les players grâce à une digital strategy, un jeu risque de se vautrer. Pour le dire autrement, comme me l'expliquait un ami philosophe, « de nos jours, il faut que la moindre crotte de pigeon sur le trottoir ait une communauté ». La plupart des jeux se contentent de créer un forum et un compte Twitter faussement enjoué, mais certains, comme SOS, essaient de pousser le concept de communauté encore plus loin. Jusqu'à lui donner une influence primordiale sur le déroulement de chaque partie.

Hunt : Showdown - Marais sur images

Début 2018, Hunt : Showdown avait fait forte impression à la rédaction de Canard PC. En y repensant, c'était sans doute parce que Kahn Lusth avait rendu tous ses boyaux dès sa première minute de jeu (une fabuleuse histoire, à redécouvrir dans le Canard PC n° 378). Depuis, Hunt : Showdown est passé sous les radars des joueurs et de la presse. Il a pris le temps de se perfectionner dans le confort de l'étiquette « accès anticipé », prometteur au point que ces six derniers mois je me suis forgé la conviction qu'on tenait peut-être là notre prochain 10/10. Ai-je eu le nez creux, ou bien suis-je en fin de compte doté d'un flair digne d'une courge pourrie macérée dans une flaque de boisson énergisante ? C'est l'heure de vérité.

L'envers du décor - Comment les environment artists habillent les AAA

Beaucoup de critiques se sont émus des niveaux sophistiqués de Deathloop, de ses repaires secrets dignes des plus grands méchants de James Bond, de ses cavernes souterraines et de ses appartements ornés d'affiches psychédéliques. Pour moi, l'émotion est survenue face à un burger parfaitement modélisé, comme je m'étais extasiée sur les tubercules de pommes de terre de Resident Evil Village ou les quignons de pain de Silent Hill 3 avant lui.

Le Fallout 4 ultime - Ou comment il suffit d'installer trente mods pour tomber amoureux de ce jeu

Lorsque Fallout 4 est sorti fin 2015 (et qu’il s’est ramassé un 6/10 de notre impitoyable Izual), je l’ai abandonné au bout de quelques heures. Deux ans plus tard, je décide de l’exhumer du fin fond de ma bibliothèque Steam pour lui ravaler brutalement sa sale petite tronche à coups de gigaoctets de mods. Le résultat a été au-delà de mes espoirs les plus fous. Je suis devenu complètement accro à mon Fallout rafistolé façon Frankenstein, sur lequel j’ai passé plus de 200 heures les dernières semaines. J’ai enfin l’impression d’avoir rentabilisé mon achat.

Bien choisir son jeu de rôle Cthulhu

Avec l'apparition des œuvres de H.P. Lovecraft dans le domaine public, chacun peut intégrer la bande à Cthulhu dans sa propre création. La tendance n'a bien sûr pas épargné le jeu de rôle, qui voit émerger depuis quelques années de plus en plus de titres issus de cet univers. Si bien qu'il n'est pas toujours facile d'en trouver un qui corresponde vraiment à nos attentes. Nous allons donc profiter de ces quelques pages pour faire le point, en commençant par un classique du nom de L'Appel de Cthulhu.

L'auteur tient à remercier Nico, qui lui a permis de défricher les innombrables gammes de jeu estampillées Cthulhu sans sombrer dans la démence.