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Nouvelles gammes Surface : Microsoft joue sa partition

Le 22 septembre dernier avait lieu l’événement automnal (🇫🇷) de Microsoft, dédié à sa gamme Surface. Les tablettes, PC portables et le téléphone (!) conçus par l’entreprise américaine se sont étoffés avec des nouveautés et des mises à jours, parfois intéressantes.

Daggerfall - Vaste & Furious

Si aujourd'hui, Bethesda est un studio de développement plus frileux qu'un chat sans poils parachuté en plein Antarctique qui se contente de ressortir Skyrim chaque année, assorti parfois d'un « Skyrim dans le wasteland » et bientôt d'un « Skyrim dans les étoiles », ça n'a pas toujours été le cas. Fut un temps, le studio de Rockville était sacrément novateur et, en 1996, il a même créé l'un des jeux les plus ambitieux de tous les temps.

Dual Universe - C'est beau mais c'est loin

Sept mois après nous l'avoir présenté, le studio français Novaquark nous a conviés à une nouvelle démonstration de leur MMO herculéen, qui veut faire coexister des dizaines de milliers de joueurs dans un gigantesque monde de science-fiction libertaire dont le seul scénario sera celui que les participants décideront. Cette fois-ci, on a fait de la géologie.

UBOAT - Il n'a pas coulé

C'était il y a trois ans, mais je m'en souviens comme si c'était hier. Nous étions un soir de 2019 et UBOAT faisait surface en accès anticipé sur Steam. J'avais bloqué ma soirée, débranché mon téléphone, verrouillé la porte du bunker. J'ai lancé le jeu en tremblant. Une heure plus tard, j'étais au bord de la dépression.

Starfield - « Skyrim dans l’espace »

Les fans attendaient un nouvel Elder Scrolls ou la suite de Fallout 4. Mais pour la première fois depuis trente ans, Bethesda va sortir un jeu de rôle entièrement neuf. Une grande aventure solo que l’éminence grise du studio résume en évoquant « la rencontre entre la NASA, Indiana Jones et La Ligue des gentlemen extraordinaires ». Je crois que ça veut dire qu’on va fouetter des astronautes dans le sous-marin du capitaine Nemo.

Le TI-99/4A (1981).
Itinéraire d'un enfant 3D - Interview : Alexandre Hadjadj

Dans les années 1980, Alexandre Hadjadj écrivait des petits programmes en BASIC dans sa chambre du 14e arrondissement de Paris. Trente ans plus tard, ce très discret codeur français, qui n'avait jusque-là jamais accordé la moindre interview, occupe l'un des postes les plus prestigieux de l'industrie du jeu vidéo. En tant que technical director chez Rockstar, il chapeaute toute la partie graphique des jeux du studio. Vous vous êtes extasié devant la clarté des décors ou la pureté de l'antialiasing de Grand Theft Auto V ? Vous avez bavé devant les effets de lumière ou l'incroyable distance de vue de Red Dead Redemption 2 ? Alexandre Hadjadj et son équipe d'une trentaine de programmeurs spécialisés, repartie entre l'Écosse et les États-Unis, en sont les responsables. Nous nous sommes vautrés ensemble dans un canapé autour d'une assiette de cookies, et nous avons parlé avec lui de son métier, des moteurs 3D, des consoles, et de son chaotique parcours professionnel dans les méandres de l'industrie du jeu vidéo.

A Memoir Blue - Histoire d'eau

A Memoir Blue se présente comme un « poème interactif », ce qui est une très jolie manière d'indiquer au joueur qu'il n'aura pas à faire grand-chose, si ce n'est suivre une histoire en cliquant vaguement sur un élément du décor. Ça tombe bien, c'est précisément ce qu'il m'est arrivé.

Hellgate : London - Il nous promettait démons et merveilles

Star Citizen, dont nous vous parlons dans le présent numéro, est un jeu que nous qualifions souvent de « trop gros pour aboutir ». Trop de budget. Trop d'ambitions. Trop de tout, en fait. De quoi être inquiet, surtout lorsqu'on sait que certains jeux se sont déjà plantés en empruntant la même route. Des jeux comme Hellgate : London, devenu lui aussi trop gros pour aboutir et désormais, trop gros pour mourir.

3000 Truands - Sleeve McQueen

Corey Konieczka a un CV boosté aux hormones : Twilight Imperium (4e édition), Star Wars : Rebellion, Battlestar Galactica (et, indirectement, sa refonte L’Insondable)… n’en jetez plus ! Et, comme tous les créateurs auréolés et admirés, il a fait sa crise.

Les jeux qu'on attend en 2019 - (et pas forcément pour les bonnes raisons)

Depuis que Noël Malware, « l'homme qui met 9/10 plus vite que son ombre » comme on l'appelle iciNote : 1, est arrivé à la rédac, beaucoup de choses ont changé. Les rédacteurs, jusqu'ici gris et blasés, qui à l'annonce d'un nouveau jeu se contentaient de maugréer « ouais, bon, c'est un jeu quoi » en écrasant leur clope au fond d'une tasse de café froid, sont redevenus enthousiastes. Joviaux. Ils prennent même parfois – horreur ! – du plaisir en découvrant de nouveaux jeux et en posant leurs mains dessus. Pire, ils se sont mis à ATTENDRE des jeux, à avoir hâte d'y jouer. C'est donc une rédaction toute excitée qui a dressé la liste, sur quelques pages, des titres qu'elle attend le plus en cette année 2019.

Note 1 : Chez Épris de Justice (cpc.cx/eprisdejustice), on l'appelle « celui qui a le numéro de tous les égorgeurs de l'Essonne », mais c'est une autre histoire.

Un moteur en colère - Et si l'Unreal Engine 5 rendait enfin les jeux plus beaux ?

De quand date votre dernière « claque graphique » ? Oui, c'est loin. Après une phase d'accélération vertigineuse dans les années 2000, la technologie du rendu 3D sur PC s'est mise à ronronner. Certains disent même que nous sommes rentrés dans l'ère post-graphique, où le nombre de polygones, la finesse des textures, le réalisme des environnements n'ont plus d'importance.

14 city-builders à surveiller - Et cinq autres auxquels vous devez jouer maintenant

Dans le tsunami des city-builders qui ont déferlé sur nos disques durs ces dernières années, le pire côtoie souvent le meilleur. Pour vous aider à y voir plus clair dans les prochains mois, voici notre sélection de quatorze titres en développement que toute la rédaction (en fait, seuls Izual et moi-même, les autres préférant jouer à Pokémon ou Candy Crush) attend avec fébrilité.

Rockstar Games presents Table Tennis - Un ping-pong avant GTA IV

En mars 2006, Rockstar est déjà au sommet de l'industrie du jeu vidéo. Cinq ans auparavant, l'éditeur a sorti Grand Theft Auto III, qui a révolutionné le jeu d'action open world et lui a rapporté plus d'un demi-milliard de dollars. Tandis qu'il prépare un quatrième épisode dont le budget s'annonce hollywoodien, ce nouveau riche rachète ou crée des studios en Angleterre, en Écosse, au Canada, aux États-Unis. Le mastodonte Rockstar tourne à pleine vapeur, réalise des profits colossaux et annonce alors... un jeu de ping-pong.

Une brève histoire d'id Software - Quatre garçons dans le vent

Il était une fois une boîte appelée Softdisk, dont les locaux étaient situés à Shreveport, en Louisiane. Oui, ne vous inquiétez pas, on va vous parler d'id Software, mais il faut bien commencer quelque part. Quand vous lisez « Au commencement étaient le ciel et la terre » au début de la Bible, vous criez direct « Ouais mais Jésus il est où Jésus ? ». Non ? Bon. Alors un peu de patience. Il était une fois une boîte appelée Softdisk, qui produisait des jeux vidéo.

The Eternal Cylinder - Au bout du rouleau

Au commencement, ACE Team créa Zeno Clash, un jeu au monde peuplé de créatures étranges, et c'était pas mal. Puis ACE Team créa Rock of Ages, un jeu dans lequel un gros machin écrasait tout sur son passage, et c'était pas mal. Enfin, ACE Team créa The Eternal Cylinder, un jeu dans lequel un gros machin écrase un monde peuplé de créatures étranges, et c'était super bien. Preuve que la recette du succès, comme toujours, est la persévérance.

Rust
La caravane patche de mi-mai 2018 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois
Space Aztecs - C'est Minus & Cortés ♫

Tout amateur de jeu de plateau vous le dira : une explication de règles qui commence par « Ne vous inquiétez pas, c'est pas compliqué » est toujours un mensonge, destiné à garder les invités sous contrôle. Mais dans le cas de Space Aztecs, il se trouve que c'est vrai.

Flight Simulator - Hélice au pays des merveilles

« T’excite pas, ça va tourner à cinq images par seconde. » Je me répétais cette phrase devant chaque photo d’écran de Flight Simulator. Même les vidéos me poussaient à la méfiance, je sentais la bonne grosse arnaque du rendu précalculé dans une ferme de serveurs. Parce que c’était trop beau. Trop de détails. Trop de nuages. Trop d’ombres. Trop d’arbres. Trop de bâtiments. Puis Microsoft m’a collé devant une machine faisant tourner le jeu. Et j’ai pleuré.

Blood Bowl 3
Les jeux de 2021 - La sélection de la rédaction

Nouvelle année oblige, nous aurions pu vous tartiner un texte sans fin pour faire le point sur toutes les sorties de l'année à venir. Oui, on aurait pu faire ça et peut être même faire comme si nous étions tous d'authentiques journalistes, dotés d'une bonne dose d'impartialité. Mais au lieu de ça, nous avons préféré prendre notre plume (en forme de clavier, pas très pratique pour attraper de l'encre d'ailleurs) pour écrire des « À venir » qui viennent du cœur, afin de vous parler du jeu le plus attendu par chaque rédacteur ou rédactrice.

Elite Dangerous - La galaxie suffit-elle ?

Sorti en décembre 2014 grâce à une campagne Kickstarter (très) réussie lancée deux ans plus tôt, Elite Dangerous est le quatrième épisode d’une série de jeux lancée en 1984 avec le légendaire Elite, suivi de Frontier Elite et Frontier Elite II en 1993. Elite est un space sim qui vous propose d’arpenter la Voie lactée à bord de votre vaisseau et de vous adonner aux activités classiques que proposent les space sims : faire de l’argent par moult moyens, tuer des ennemis par moult moyens et explorer moult endroits. Trente ans après le premier épisode, Elite Dangerous (ED) a conservé cette recette simple mais ô combien efficace.