16 résultats pour "bethesda prend la main"

Nous méritons une certaine qualité de vie - De la QoL sans modération

Ce mois-ci, je voudrais profiter de ces pages pour aborder un sujet peu discuté dans le jeu vidéo : la quality of life. Vous avez peut-être déjà rencontré ce terme, au détour d'une note de patch, sous l'abréviation QoL. Sous ces trois lettres se cachent une foule de petits détails qui, bien souvent, font la différence entre un jeu à 6/10 et un jeu à 8/10.

Cultist Simulator
La caravane patche d'octobre 2018 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois
Ghostwire: Tokyo - Yōkaidi yōkaida

La présentation commence par un petit message de Kenji Kimura, le directeur de Ghostwire: Tokyo, filmé depuis une petite rue piétonne. « Ce printemps, tout le monde va disparaître de Tokyo », entame-t-il d'un ton grave, avant que son visage ne s'illumine soudainement : « J'ai troooop hâte ! »

Minion
Bricolez The Elder Scrolls Online - Changez l'add-on

Ça y est, vous avez envie de (re)jouer à TESO mais la simple idée de passer des heures à chercher ses meilleurs add-on vous file des boutons. Alors prenez le temps de contacter un bon dermatologue – sérieusement, c'est pas normal d'avoir des problèmes de peau pour si peu – car nous venons de sélectionner quelques indispensables pour vous.

Ma plus belle défaite, c'est vous - Comment RimWorld, Crusader Kings II ou X-COM racontent des histoires par l'échec

Après 50 heures de RimWorld, tout allait plutôt bien : la Colonie du Crack n’avait jamais été aussi prospère. Après des débuts difficiles, nous étions venus à bout des principales difficultés : la faim, le froid, les raids de bandits et les animaux enragés. Maintenant, nous pouvions nous lancer dans le commerce, partir en expédition et vendre les stocks de drogue patiemment amassés.

Starfield - « Skyrim dans l’espace »

Les fans attendaient un nouvel Elder Scrolls ou la suite de Fallout 4. Mais pour la première fois depuis trente ans, Bethesda va sortir un jeu de rôle entièrement neuf. Une grande aventure solo que l’éminence grise du studio résume en évoquant « la rencontre entre la NASA, Indiana Jones et La Ligue des gentlemen extraordinaires ». Je crois que ça veut dire qu’on va fouetter des astronautes dans le sous-marin du capitaine Nemo.

Jeux de rôle : place à l’âge d’or - Après Baldur’s Gate 3, tout est enfin possible

Il y a peu, leur trajectoire était encore incertaine. On les trouvait essoufflés, archaïques, inaccessibles. Mais en quelques années, les RPG sont passés de la ruine au triomphe. Réinventés par une scène indé foisonnante et poussés par l’immense succès de Baldur’s Gate 3, ils ont désormais toutes les cartes en main.

Daggerfall - Vaste & Furious

Si aujourd'hui, Bethesda est un studio de développement plus frileux qu'un chat sans poils parachuté en plein Antarctique qui se contente de ressortir Skyrim chaque année, assorti parfois d'un « Skyrim dans le wasteland » et bientôt d'un « Skyrim dans les étoiles », ça n'a pas toujours été le cas. Fut un temps, le studio de Rockville était sacrément novateur et, en 1996, il a même créé l'un des jeux les plus ambitieux de tous les temps.

Le Spiel 2017 d'Essen - La tête dans le pion

Il est d'usage de dire que l'International Spieltage d'Essen, que tout le monde – organisateurs compris – appelle désormais communément le Spiel, est la Mecque du jeu de société. C'est parfaitement vrai et nullement exagéré. Pour sa 35e année, cet incontournable salon accueillait pas moins de 1 100 exposants de 50 nations différentes, qui ont eux-mêmes rameuté quelque 180 000 visiteurs venus arpenter pendant quatre jours les 70 000 m² des différents halls du Messe d'Essen. On peut affirmer, avec l'exactitude et la pertinence qui nous caractérisent, qu'on est loin de la foire au boudin de Montceau-les-Mines.

Les années 1990 : un âge d'or du test de jeu vidéo - C'était le temps de l'emerveillement

Dans les années 1990, il n'y avait pas de téléphone portable. Ni même de Steam (sorti en 2003) ou de YouTube (2005). Les souris n'avaient pas de molette. Les écrans d'ordinateur pesaient 25 kilos. Les cartes 3D étaient encore des prototypes de laboratoire, et le Minitel restait bien plus populaire qu'un Internet balbutiant. Et pourtant, bravant ces conditions épouvantables, des femmes et des hommes ont testé des jeux vidéo.

Concertos des cash saisons

C’est le printemps, merveilleuse saison des conférences post-E3 qui font rêver la rédaction et des bilans comptables qui… atterrissent inévitablement sur mon bureau.

Prey : Mooncrash - Bien luné

On commet tous des erreurs, dans la vie. Je dis « on », c'est pour généraliser : tout le monde est bien conscient que quelqu'un comme ackboo se trompe beaucoup plus que les autres. Mais voilà, des fois, à Canard PC, on se goure collectivement, comme quand on a décidé, à la sortie de Mooncrash, de l'ignorer au motif que « c'est juste un DLC, pas la huitième merveille du monde » (ce qui constitue le seuil minimum à franchir pour mériter une page dans notre auguste magazine). Aujourd'hui, je le reconnais devant vous : nous nous trompions. Parce que oui, Mooncrash pourrait bien être la huitième merveille du monde.

E3 2018 - Il ne peut en rester qu'un

Ah, l’E3 ! Chaque année, c’est là, dans un centre de conférence surclimatisé, que l’industrie occidentale du jeu vidéo grand public se retrouve, se jauge, annonce ses prochains projets et tente de prendre le pouls des tendances pour ne pas être trop en retard l’année suivante.

Doom
La caravane patche de janvier 2020 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois
The Outer Worlds - Firefly sous le capot

Pour certains d'entre vous, je risque d'enfoncer une porte ouverte, mais pour les autres, qui seraient passés à côté, je vous conseille vraiment d'aller jeter un coup d'œil à la série Firefly (2002). C'est réalisé par le papa de Buffy contre les Vampires et, en très gros, c'est un peu les aventures qu'aurait pu vivre Han Solo avant Star Wars, dans un space opera qui lorgne allégrement du côté du western spaghetti. Ah, et The Outer Worlds ? Ouais, c'est sympa, ouais.

The Evil Within 2 - Peur sur la ville

Un rien me terrifie, le suspense m'angoisse, les bruits un peu forts me paralysent. Vous imaginez donc bien que je n'étais pas dans mon état normal le jour où je me suis porté volontaire pour écrire sur The Evil Within 2. « Non, non, ça ne fait pas peur », m'a rassuré Louis-Ferdinand Sébum. « C'est plus gore qu'autre chose », a surenchéri Maria Kalash. Dans leur dos, Guy Moquette roulait des yeux pendant que Pipomantis, l'air grave, gardait les siens rivés sur le sol. Quand je suis parti avec le jeu sous le bras, ils pensaient sans doute m'avoir vu pour la dernière fois.