107 résultats pour "bonjour"

Bonjour tristesse (1954)

Il y a des classiques qui se prêtent à des ambiances travaillées.
Pour ce court roman, il est de bon ton de le lire en été, sous les pins et de préférence avec la peau salée du bain de l’après-midi. Si en plus vous ajoutez un fond de jazz (Art Blakey and the Jazz Messenger par exemple) et un verre de votre altérant favori, vous serez bien garés [NDLR : fonctionne également si vous êtes au café de la poste à Montargis].

Le Château Blanc - Bonjour les ponts

J’en ai assez de ces éditeurs qui mentent comme des arracheurs de dents. Tous, autant qu’ils sont, indiquent un temps de partie complètement fumé sur les boîtes. Je pense qu’il est estimé en éventrant un poulet pour lire dans ses entrailles.

The Day Before - Pile à leurre

« Bonjour, c’est la DGCCRF. Je viens de lire les 500 pages de votre dossier. C’est moche.
– C’est parce que jeu pas fini.
– Ça, c’est sûr. Vous avez une roadmap ?
– Oui-da : prendre argent, fermer, peut-être changer nom studio, recommencer. Tout bien organisé. »

Jupiter Hell - Tour par tour de magie

Bonjour et bienvenue dans notre cours « ce qu'il ne faut pas faire quand on est développeur indé. » Première leçon : ne violez pas la propriété intellectuelle d'une franchise archi-célèbre, vous auriez des ennuis. Deuxième leçon : de grâce, ne codez pas votre moteur 3D vous-même, vous perdriez des années à réinventer la roue. Troisième leçon : ne faites pas attention à Kornel Kisielewicz, qui a tout réussi en faisant exactement le contraire.

Jouer en VR en 2021, c'est souvent triturer des tas d'options graphiques aux noms incompréhensibles pour tenter d'atteindre les sacro-saintes 90 ou 120 images/seconde.
La réalité virtuelle en 2021 - Quel futur pour le futur du jeu vidéo ?

Bonjour, bienvenue dans notre rubrique annuelle « La VR c'est sympa, mais bon ». Après un long confinement propice aux dépenses high-tech, la sortie de Half-Life : Alyx et l'apparition de nouveaux casques haut de gamme, faisons le point sur cette technologie, l'éternel « futur du jeu vidéo » qui, cinq ans après son arrivée sur le marché, attend toujours le grand soir.

Away : A journey to the unexpected - Effectivement, on ne s'y attendait pas

« Bonjour Madame, je suis Kahn Lusth, de Canard PC. Je reviens vers vous concernant le test d'Away : A journey to the unexpected. Notre rédacteur, Noël Malware, vient de le terminer, et il vaudrait savoir s'il s'agit d'une démo, d'une blague ou si c'est bien le jeu complet. Par ailleurs, il souhaiterait connaître le prix auquel le "jeu" est vendu. Bonne journée. Merci. » Attachés de presse, sachez-le : en général, si vous recevez ce genre de mail de la part de Kahn Lusth, ça sent mauvais. Surtout s'il s'agit d'un jeu complet.

Vampyr - Les ciseaux de la sangsue

Bonjour, je suis l’une des caisses de Vampyr. Une des caisses que vous trouvez en jeu. Nous sommes des centaines, toutes faites sur le même modèle. Six pans de bois clair, nous nous brisons au moindre contact ou presque, et nous profitons de l’occasion pour voler en éclats sonores. À ma connaissance, je n’ai pas d’autre fonction que ça d’ailleurs. Mais entre les skals, les vampires et les chasseurs de la garde de Priwen, qui se foutent sur la gueule à longueur de journée, je peux vous dire que j’ai assisté à un paquet d’atrocités.

Mount and Blade II : Bannerlord - Il est très poli

« Bonjour, soyez les bienvenus à cette présentation de Mount and Blade II : Bannerlord ! », nous dit le développeur. Avec son bronzage et son sourire Ultra Brite, ce mec pourrait facilement passer pour un animateur de camp de vacances, ce qui tranche avec les derniers gars de Taleworlds que nous avions croisés, eux qui étaient tous gris et à deux doigts de fondre en larmes. Oui, les créateurs de Mount and Blade ont la patate, au point de nous avoir laissé jouer pendant une demi-heure au multi de Bannerlord.

Dois-je répondre ?

« Oui bonjour, nous vous appelons pour vous proposer une remise exceptionnelle ! » Ces coups de fil, on en reçoit tous et tout le temps. Mais si tout le monde s'en plaint, il reste surprenant de constater que la plupart des victimes ne savent pas se défendre. Alors l'heure est à la riposte.

If On A Winter’s Night, Four Travelers

Alors, déjà bonjour. La politesse. Et puis, ensuite, ne passez pas à côté de IOAWN4T. Vous aimez le pixel art ? Ne passez pas à côté de IOAWN4T. Vous aimez les point and click ? Ne passez pas à côté de IOAWN4T. Vous aimez les jeux d’Octavi Navarro (Thimbleweed Park, Midnight Scenes, The Supper) ? Ne passez pas à côté de IOAWN4T. Vous aimez la vie ? Ne passez pas à côté de IOAWN4T.

Coffee Talk Episode 2 : Hibiscus & Butterfly - Infusion, deuxfusion

Bip bipbrrrrrrrrmtchhhhhhh – Bonjour monsieur, installez-vous ! Je suis à vous dans un instant. tchhhhbrrrrmfshhhhh – Et voilà madame, votre cappuccino à emporter, comme convenu. Attendez – voooosh – votre fleur préférée dessinée dans le lait, pour porter chance. Et bonne journée ! - ding ding – Monsieur, c’est à nous. Vous avez choisi ?

Quake Wars : Ray Traced était une version en ray tracing d'Enemy Territory : Quake Wars développée en 2007 par Intel. Les différences sont minimes, mais vous constaterez quand même que la lunette du fusil reflète le décor.
Le ray tracing est-il l’avenir du jeu vidéo ? - Ou juste un énième terme à la mode qu’on aura enterré d’ici deux ans ?

Après le full HD, la réalité virtuelle, la 4K, le HDR et j’en passe, dites bonjour au nouveau mot magique qui fait frissonner d’extase les vendeurs de cartes graphiques : le ray tracing. Jusque-là réservée aux professionnels de l’image de synthèse et aux dessins animés Pixar, cette technologie de rendu photoréaliste pourrait bientôt débarquer dans les moteurs 3D temps réel du futur. Décortiquons-la et voyons ce qu’elle peut réellement apporter à nos jeux vidéo.

Swamp Thing

« Mais il est complètement con, il a déjà parlé de Swamp Thing dans Canard PC il y a quelques mois. » Alors, premièrement bonjour. Deuxièmement, oui. Troisièmement : certes, mais j'ai parlé du Swamp Thing d'Alan Moore qui reprend la série créée par Len Wein et Bernie Wrightson. Et justement, c'est de cette première partie dont je veux parler maintenant, parce qu'elle est tout aussi fabuleuse. Je ne le savais pas, mais Bernie Wrightson est un monument du dessin, le genre d'artiste vaguement connu des non-initiés, mais dont tous ceux qui se sont frottés par la suite à une histoire d'horreur disent qu'il a tout inventé : les ombres, le cadrage, la mise en page. Bref, filez lire le début de Swamp Thing, continuez avec la série d'Alan Moore, finissez-vous sur Sandman de Neil Gaiman et, au passage, faites un petit détour par « Le Culte », une série de Batman, toujours par Wrightson.

Crédit image : Bernie Wrightson

Unforeseen Incidents - Harpeur et sans reproches

Harper Pendrell mène une vie tranquille du côté de Yelltown. Sans talent particulier ni ambition dévorante, il répare des trucs électroniques et bidouille des postes de radio, passe dire bonjour à son pote Leroy qui tient la décharge avant de s’endormir sur un matelas cradingue posé dans un coin de sa chambre. Bref, Pendrell, comme vous, comme moi, n’aspire qu’à mener une existence à la coule.

Automachef - Zèle ou la cuisse

Pour beaucoup, les jeux remplis d'usines, de machines et d'automatisation débridée sont synonymes de dystopie. Moi, au contraire, ils me font rêver. Ils me projettent dans un futur où l'humanité n'aura plus besoin de dire bonjour à la boulangerie, plus besoin de se lever de sa chaise pour aller aux toilettes, plus besoin de planter des arbres. C'est peut-être aussi pour ça qu'Automachef m'a immédiatement mis le sourire aux lèvres.

Cyberpunk 2077 - Le jour où CD Projekt a retourné sa veste

Alors que je quitte la salle de projection de Cyberpunk, des étoiles dans les yeux et une veste promotionnelle taille S sous le bras, un trentenaire à l’air soucieux vient m’aborder. Un badge « Exposant » pendouille tristement de son cou. « Bonjour, j’aimerais vraiment avoir cette veste en M, est-ce que tu sais où je peux l’acheter ? » Lorsque je lui avoue n’en avoir aucune idée, il affiche une mine déçue. « Je ne suis pas de la presse, et ils ne veulent en donner qu'aux journalistes », déplore-t-il avant de repartir, dépité. Le même manège recommence une heure plus tard, quand je pose la fameuse veste sur un siège, le temps de tester un autre jeu. « Malheureuse ! Ne laisse pas ça traîner, tout le monde la veut », me hurle un développeur. Je serre la veste précieusement contre mon cœur battant et cours pour me rendre à mon prochain rendez-vous. Autour de moi, des voix s’élèvent – « Je te l’échange contre un rein fonctionnel ! » –, j’esquive un visiteur malingre arborant une pancarte « Une veste Cyberpunk 2077 contre mes faveurs sexuelles » et je finis par me réfugier dans les toilettes les plus proches, alors qu’une dizaine de fous furieux tambourinent à la porte. Comment en est-on arrivé là ?

Les petites merveilles d’Angela He

Pour vous parler d’Angela He, j’aurais voulu commencer par évoquer l’intelligence de ses jeux et la qualité de ses illustrations. Mais avant ça, je devais dire quelques mots sur Hi No Homo, le jeu qui ressemble le moins à ce qu’elle fait d’habitude : c’est un simulateur de bonjours maladroits, dont la maniabilité digne de QWOP engendre des situations extrêmement gênantes, avec des gens qui ne parviennent pas à se serrer la main pour se saluer convenablement. C’est nul et en même temps c’est bien, c’est bizarre et c’est hilarant, bref, c’est indispensable. Mais réduire Angela He à ce coup de génie ne serait pas lui rendre honneur.

Les conseils juridiques de Grand Maître B. : Link et les armes artisanales

Chez Canard PC, on aime rendre service. Vous êtes un héros de jeu vidéo qui hésite à se lancer dans une aventure pour une question de droit, un simple PNJ inquiet de sa situation professionnelle ou un monstre qui se pose des questions d'ordre juridique ? Grand Maître B., avocat au barreau de Paris, répond à vos questions.

Precognition - Un petit verre devin ?

En entrant chez Irma, j’étais plein d’espoir. C’était une sommité. Imaginez, elle avait tout de même prédit la chute du mur de Berlin (dès 1995 !), ou encore le Trumpisme, avec son célèbre « Il viendra, l’homme jaune et fou ». J’étais plein d’espoir… et de questions.

Ukraine : le cas de conscience de la simu' militaire

Pour ceux qui aiment jouer à la guerre, les conflits armés du monde réel sont une aubaine. Cartes stratégiques, rapports détaillés et vidéos de soldats au combat fournissent une puissante source d’inspiration – qui ne soulève aucune question dérangeante lorsqu’elle concerne une contrée aux antipodes. Mais lorsque la guerre touche un pays d’Europe, la pratique de la simulation militaire devient tout d’un coup plus épineuse.