228 résultats pour "write"

Disco Elysium - Entretien avec Robert Kurvitz

Robert Kurvitz, lead designer et lead writer de Disco Elysium, a répondu à nos questions sur le roleplay de la lose et les ambitions de son RPG.

La Guilde des expéditions marchandes - Chérie, j’ai rétréci négoce

Je ne suis pas fou des Truc & Write. Il y en a de bons, voire de très bons, mais rien à faire, j’y trouve rarement mon compte. J’ai accusé la mécanique, c’était facile. J’avais tort. Je suis beaucoup plus futile que cela. Pour que j’en aime un, il fallait enlever le « Write », dégager stylos, feutres ou crayons. Il me fallait des cubes et des cartes spéciales.

Captains' War - Le stylo et le mousquet

Dernièrement, on nous a pas mal rebattu les esgourdes avec les roll & write, au point de nous en servir à toutes les sauces, même les plus improbables. Et il faut bien avouer que la plupart du temps, ça se limite à griser une feuille dans son coin, et on se retrouve avec des chiures de gomme partout et une impression de déjà-vu. Alors, en quoi Captains' War change la donne ? Tout est dans son sous-titre : Roll - Write - Attack.

Get on board - Tu t’es vu quand t’as Bus ?

Un peu partout, vous lirez que Get on board est un Flip & Write, accessible et facile à jouer. Je m’insurge, ce n’est pas vrai, mensonge ! En réalité, c’est un bon moyen d’initier des profanes au genre Flip & Write, accessible et facile à jouer. Oui, je vois ce que vous voulez dire… il faut que je m’explique.

Sagrada Artisans : Legacy - Ah Sagrada, Sagrada, Sagrada, les aristocrates à la lanterne…

Je ne pouvais décemment pas vous laisser sans parler d’au moins un roll & write dans ce numéro.

Dungeon Academy - Vraiment tapissime

Il y a quelque temps, à l'occasion d'un déjeuner avec un pote, celui-ci me fit une terrible confidence. « Tu sais, j'aime pas les roll and write. Même avec des mécaniques parfaitement huilées, ces jeux mettent autant d'ambiance qu'un cimetière. » Autant vous dire que j'ai bien eu envie de rappeler ledit copain lorsque, le soir même, Dungeon Academy me prouva qu'il était possible de conjuguer roll and write et gens qui chahutent à table.

Typora

IAWriter

A Plague Tale : Requiem – Interview - Rencontre avec Sébastien Renard

Loin d'être rassasiés, nous avons envoyé un petit mail à Sébastien Renard, afin de lui poser quelques questions sur A Plague Tale : Requiem.

Et aussi : Les jeux familiaux

Voyage au centre de la Terre - Quand l'écrit résonne

J'ai une terrible confession à faire : quand je joue à un jeu de plateau, il me faut de la thématique. Un univers dans lequel m'immerger. L'impression que l'habillage est davantage qu'un vague prétexte après une grosse panne d'inspiration. Pas de bol (ou « coup de bol » ?), Voyage au centre de la Terre est à la limite de ce que j'arrive à supporter.

Fantasy Realms - Potos, combos

Les sensations du rami, une soirée dans une taverne, l’impression de me voir pour la première fois tel que j’étais sans doute il y a vingt ans. Je ne sais toujours pas si j’ai passé une bonne soirée, mais ce n’est pas la faute du jeu.

Jouer sur Linux sans peine (si, si !) - Pas besoin de se retrousser le manchot

Nous venons de le voir, le jeu vidéo sous Linux a parcouru un long chemin : plus besoin de se laisser pousser la barbe et revêtir son plus beau borsalino pour espérer faire fonctionner Unreal Tournament sur sa Mandrake 7 en triturant les scripts de Loki. Aujourd’hui, un Steam Deck vous propose en quelques clics de jouer à un titre conçu pour Windows. Sur un PC de bureau, ce n'est certes pas (encore) tout à fait aussi simple, mais cela reste très accessible. Vous voulez essayer ?

Développez couché - Étape n° 10 : à balles réelles

« Développez couché » est le cours de programmation de Canard PC. Cette année, on programme un FPS en C#. Vous avez raté les épisodes précédents ? Aucun problème ! Rendez-vous sur notre forum (cpc.cx/canardsteinforum) pour récupérer tout ce que vous avez manqué.

Décrocher un pendu : dix secondes dans un autre jeu, vingt minutes savoureuses ici.
Disco Elysium - Le livre dont vous êtes le blaireau

Depuis 2015, un vent venu d'Estonie colporte d'étranges rumeurs. Celles d'un jeu de rôle visionnaire, d'un collectif d'artistes qui se serait transformé en studio de jeux vidéo, d'une histoire de flic ivre mort dans un univers totalement nouveau. Nourri de Planescape : Torment et de Kentucky Route Zero, ce qui s'appelait encore No Truce With The Furies promettait de changer notre rapport à la narration, aux dialogues et au roleplay. Mais le jeu, développé dans la lointaine Tallinn, existait-il seulement ou ses captures d'écran officielles n'étaient-elles qu'une suite de montages alléchants ? Le doute a subsisté pendant des années. Et puis, fin avril, j'ai pris le train pour y jouer de longues heures et rencontrer ses créateurs. Le vent n'avait rien exagéré : au contraire, il ne soufflait pas assez fort.

Disco Elysium - Le triomphe d’Hercule Poivrot

« Ça ne sera jamais aussi bien qu'ils le disent. » Voilà ce qu'on se répète depuis quatre ans à chaque fois que ZA/UM donne des détails sur le projet Disco Elysium. Ambitieux, intelligent, superbe, drôle, déjanté, le jeu de rôle qu'on nous décrivait était surtout trop beau pour être vrai. Personne ne croyait vraiment que des développeurs de la Baltique sans expérience du jeu vidéo allaient pondre un chef-d’œuvre, sans trop forcer, en guise de première ligne sur leur CV. Aujourd'hui, il faut pourtant se rendre à l'évidence : un collectif d'artistes estonien a créé le meilleur jeu de rôle à avoir jamais été installé sur nos PC.

Welcome to the Moon - Bienvenue chez les Ch’tis hommes verts

La vie de rédacteur chez Canard PC est trépidante. Au départ, je devais vous parler de Virtù. Puis on s’est déporté sur It’s a Wonderful Kingdom. Sauf qu’ayant ni l’un ni l’autre à temps, Kahn m’a sorti un magnifique « On n’a plus le temps, démerde-toi ». Dont acte. Et joie, parce que ça me donne l’occasion de vous parler de l’un de mes plus gros coups de cœur de 2021.

Welcome - Quartiers libres

États-Unis, 1950. Après la Seconde Guerre mondiale, le pays connaît un boom démographique qui impose une reconstruction tous azimuts. Un job de rêve pour moi, qui suis capable de provoquer l'écroulement d'un mur rien qu'en essayant de le repeindre : dans Welcome, nul besoin de mettre les mains dans le plâtre.

WhiteKnight

Neon White - La route du run

C'est si bon d'avoir raison. J'entends encore leurs voix absurdes pendant l'émission de Canard PC consacrée au Summer Game Fest. Les Louis-Ferdinand Sébum, les Kahn Lusth, les Ellen Replay : « Héhéhé Noël Malware, c'est un jeu pour toi, ça ^^. Hihihi, y'a des images mangas. Hihihi, t'aimes ça les mangas, non, hihihi. » Et aujourd'hui, à peine un mois plus tard, je peux sucer les larmes qui coulent de leurs joues grasses et informes.