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IW-SK Workstation Chair (Imperator Works)
Le tour du gadget

Feargus Urquhart, patron de studio indépendant

Quand on parle de studios indépendants, on imagine un garage dans lequel sont tassées quatre créatures que la malnutrition a rendu chétives. Ce cliché ne correspond pourtant pas à tous les indés : une petite poignée de studios réussit à travailller en toute indépendance sans pour autant cesser de manger le 15 du mois. Leur solution ? Alterner entre la réalisation de jeux pour les gros éditeurs du marché et le développement de projets plus personnels. Parmi eux, on compte Obsidian Entertainment, un studio de Californie du sud qui compte près de 200 employés. Fondé en 2003 par les réfugiés de la branche « jeux de rôle » d'un Interplay exsangue, Obsidian fera du jeu de rôle sa spécialité (Star Wars : KOTOR II, Neverwinter Nights 2, Fallout : New Vegas) tout en privilégiant le travail de commande : ce n'est qu'après sept ans d'existence que le studio réussira à développer un jeu de son invention, Alpha Protocol, puis qu'il réussira à s'extirper un peu de ses contrats avec des éditeurs pour produire plus de jeux originaux, notamment grâce au financement participatif sur le site Kickstarter. Nous avons posé quelques questions à Feargus Urquhart, qui dirige Obsidian depuis sa création, histoire d'y voir plus clair sur la place d'un grand studio indépendant dans une industrie où les blockbusters coûtent de plus en plus cher à produire.

Radical Heights - Le Juste Cri

Après avoir abandonné Lawbreakers, Boss Key a tenté de rassurer ses fans en affirmant qu'un « projet passion » était en développement et serait vite révélé. Et quelle est donc cette passion qui anime le studio ? Eh bien, il semblerait que ce soient les soirées « grand Bingo clichés du jeu vidéo », dont Radical Heights coche toutes les cases.

Du papier à la péloche - Les super-héros prennent d’assaut Hollywood

On ne vous apprendra rien : dernièrement, il est devenu particulièrement difficile d’échapper à la déferlante de super-héros au cinéma. Entre les X-Men, les films Marvel Studios, ou encore les tentatives d’adapter les personnages DC chez Warner, tout le monde s’y est mis. Et même si le Superman de 1978 fut sans conteste le tout premier vrai blockbuster inspiré d’un super-héros, la romance entre comics et septième art est bien antérieure...