3083 résultats pour "cest de la balle"

qomp - Enfant de la balle

En fonction de votre niveau en jeu vidéo, vous devriez pouvoir terminer qomp en deux heures et demie ou trois heures. Tout dépendra de votre « skill ». Pour ma part, j’ai mis un tout petit plus d’une heure. Voilà. Je dis ça comme ça. N’essayez pas forcément d’aller aussi vite que moi, c’est inutile. L’important, c’est d’aller à votre rythme.

« Alors que Patrick Bouchard va putter pour le bogey, Jean-Edmond... – Oui tout à fait Charles-Eusebio, on sent que ce joueur n'est mentalement pas serein sur ce début de parcours ».
PGA Tour 2K21 - Fairway to heaven ?

Lorsque j'ai offert mon corps en sacrifice à PGA Tour 2K21, mes collègues de la rédaction ont haussé les sourcils. Tester un jeu de golf ? Dans Canard PC ? En 2020 ? Quelle idée farfelue n'avais-je point eue. Pourtant, il y a fort longtemps, en ces temps anciens où les cartes 3D n'existaient pas et où la vie était plus simple, le golf était un genre aussi populaire que prestigieux sur PC.

FIFA 22 - FUT, mode d’emploi

Je peux bien vous l’avouer : après une semaine à jouer à Fifa 22 comme un altermondialiste, j’ai failli craquer. Le point de bascule ? Un match en ligne que je maîtrisais parfaitement jusqu’à la mi-temps : 2-0, 64 % de possession, contrôle de la balle au milieu de terrain, ça coulisse bien sur les ailes. En tailleur sur mon canapé, j’inspire, j’expire, tout est sous contrôle. Et puis le mec en face, un certain Freddy888, fait rentrer Romeo Lukaku, qui m’en plante trois fois de suite. Score final : 3-2. Je pose calmement la manette sur la table basse, et me précipite dans l’entrée de mon appartement. Je reviens avec ma carte bleue, et clique sur l’onglet « Boutique » du mode Fifa Ultimate Team.

Company of Heroes 3 - Un Panzer de déjà-vu

Company of Heroes, c'était « de la grosse balle », comme on disait à l'époque. Un STR incroyablement innovant, à la réalisation impressionnante, qui confirma que le studio canadien Relic, après leur fantastique Homeworld, était devenu un grand maître du genre. Mais Company of Heroes, c'était il y a 17 ans.

Dans cet épisode de « Bienvenue chez nous », le maréchal Erwin Von Ribbentrop et son château en Bavière recueillent la note de convivialité maximale.
Call of Duty : WWII - J'irai revoir ma Normandie

Adorno se demandait comment écrire après Auschwitz. Perso, je me demande comment on faisait pour écrire avant. Depuis soixante-dix ans, tout, absolument tout, des œuvres les plus savantes à la pop-culture, est fourré au nazi. Qu'on cherche un roman d'aventure, une nouvelle mise en scène d'Euripide ou un comic book, presque impossible d'en trouver un où ne figurent pas les bricolos du Reich. Signe d'un manque d'imagination ? Peut-être. Étant d'un naturel optimiste, je préfère me réjouir qu'Adolf Hitler, peintre qui toute sa vie est resté méjugé par ses contemporains, soit finalement devenu la muse de trois générations d'artistes. C'est toujours chouette quand une histoire finit bien.

Base One
Base One - Il n'y en aura pas une deuxième

Tous les feux sont au vert pour Base One : de la construction de base spatiale, de la gestion de ressources et d'équipage, des photos d'écran mignonnes comme tout avec de beaux paysages spatiaux. Une telle recette, c'est un peu les spaghettis carbonara du jeu vidéo : pour que ça soit mauvais, il faut vraiment le vouloir. Et pourtant, voilà.

Golf Club Wasteland - Cent balles et une colonie sur Mars

Depuis la Grande Catastrophe, les 1 % les plus riches de l’humanité sont partis vivre sur Mars. La Terre a été laissée complètement à l’abandon et fait désormais office de gigantesque terrain de golf, où l'on peut tranquillement taquiner la balle dans des monuments en ruine et des musées oubliés, tout en écoutant une émission de radio où les invités évoquent leurs souvenirs de la planète – et de tout ce qui a provoqué sa perte.

Neon White - La route du run

C'est si bon d'avoir raison. J'entends encore leurs voix absurdes pendant l'émission de Canard PC consacrée au Summer Game Fest. Les Louis-Ferdinand Sébum, les Kahn Lusth, les Ellen Replay : « Héhéhé Noël Malware, c'est un jeu pour toi, ça ^^. Hihihi, y'a des images mangas. Hihihi, t'aimes ça les mangas, non, hihihi. » Et aujourd'hui, à peine un mois plus tard, je peux sucer les larmes qui coulent de leurs joues grasses et informes.

Ma voiture, qui a le sens théâtral, a attendu de se trouver sur un pont de bois surplombant une chute d'eau, en haut d’une falaise en bord de mer, pour rendre l’âme.
Jalopy - Que le grand cric me croque

Aujourd’hui, le road trip est devenu une sorte de voyage fantasmé, que personne ou presque n'ose faire, car en vacances l’important n’est pas le voyage mais la destination. Autrefois, il en était autrement. Ça tombe bien, la balade à laquelle vous convie Jalopy démarre en Allemagne de l'Est en 1990.

Tennis World Tour manque peut-être un peu de variété dans les visages.
Tennis World Tour et AO International Tennis - Double faute

Nous sommes en 2006 et Nintendo atomise à tout jamais le jeu de tennis avec Wii Sports, qui restera indépassable. Ça donne une idée du niveau... Depuis des années, plus personne n’ose se présenter sur le court. 2K a abandonné ses Top Spin (pourtant pas les pires du genre). Quant à EA, s’il a bien tenté un jeu de tennis au PS Move en 2012, euh... voilà. Seul Nintendo sort encore tous les trois ans des Mario Tennis (le prochain est d’ailleurs pour ce mois-ci), jusqu’à présent tous dénués d’intérêt. Et puis cette année, par un hasard cosmique, Bigben et Big Ant (ça ne s’invente pas) sortent en même temps deux jeux concurrents : Tennis World Tour (TWT) et AO International Tennis (AOIT). C’était l’occasion rêvée pour renfiler un short.

Exo One - On l'appelle l'ovni

Et paf, me voilà bien attrapé. Dans ce même numéro, pour le test de The Gunk, je dis que quitte à foutre des jeux qui ne sont pas des AAA dans le Game Pass, autant y dénicher des projets un peu ambitieux, un peu originaux, un peu farfelus. Et comme pour me répondre, Exo One tombe pile dans cette catégorie.

Agony - Impact avec le diable

Un jeudi, sur la messagerie interne de la rédaction, quelques jours avant qu’on ne reçoive la version test d’Agony.

Kahn : Vous avez vu ? L’embargo d’Agony est repoussé au 29 mai, après la sortie du jeu. :’)
Agar : NOTRE AVIS : 5/10
Trop soucieux de proposer une direction artistique originale, Agony a oublié l’essentiel : être un jeu. Son gameplay banal et peu inspiré, alourdi par quelques problèmes techniques, le réduit au rang de simple curiosité pour amateurs de macabre et de Giger. (Tu peux copier-coller dans ton test, c’est cadeau.)


Vous savez, ce que j’aime par-dessus tout chez ce mec, c’est son optimisme.

Everspace 2 - J’item, moi non plus

Everspace traîne dans mon casier « jeux à faire un jour ». Bon, commençons par le 2, tant pis. Trente heures plus tard, il m’a à la fois agacé et amusé. Et je ne sais toujours pas si c’est plus l’un que l’autre.

Rust - Laisse pas traîner ton vice

L'année 2018 est là, et avec elle le sentiment que tout a été fait question jeux de survie en accès anticipé. À force de voir passer des clones de DayZ et de The Forest, on connaît la chanson : il faut couper du bois, fabriquer un arc, se faire bouffer par un loup et grelotter près d'un feu de camp pendant la nuit froide. Oui, tout ça s'est bien ancré dans nos têtes. Mais au fond, on ignore tout de la survie, la vraie. Celle qui appelle à trahir ses amis pour manger leur chair, celle qui légitime le meurtre pour le vol d'une babiole, celle qui demande de courir nu dans la forêt un arc à la main. Celle qui tord le ventre, trouble le sommeil et fait germer la folie. Celle qui transforme en monstre. Celle-là, on ne la trouve que dans Rust.

I Am Dead - La mort lui va si bien

Morris Lupton entame sa petite promenade matinale le long de l’île de Shelmerston, quelque part dans l’Atlantique nord. Les oiseaux chantent, les touristes entament leur séance de yoga sur le phare de la pointe de Yapp, le soleil levant nimbe la plage d’une lumière dorée, et tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes – à ceci près que Morris Lupton est mort.

Fading Afternoon - Lost in rhumatismes

Je déteste Fading Afternoon. Fading Afternoon est âpre, Fading Afternoon est compliqué, Fading Afternoon bugue. Je le sais, j’y passe ma vie. Bon, j’y retourne.

Last Train Home - Terre des omnibus

En signant dans la légion tchécoslovaque, on nous avait promis beaucoup. Des voyages, de l’action, de la camaraderie. Techniquement, c’était vrai. Mais traverser la Russie d’ouest en est, dans un wagon pas encore bien isolé, se contenter de demi-rations, tout en grattant les fesses de Youri qui a chopé la gale, ce n’est pas l’image que je m’en étais faite.

Street Fighter 6 - Les amants d’Ippon-Neuf

Il n’y a qu’une vérité sur Street Fighter : nous sommes tous mauvais, « tous des sacs ». Un nouveau Street, c’est l’autoroute vers l’humiliation, les défaites cinglantes et les combos ratés. Et c’est un problème pour Capcom.

God of War - En père et contre tous

Lassé d’avoir décimé un panthéon entier, Kratos revient, tel Nicolas Sarkozy, en promettant qu’il a changé. Il s’est assagi. Installé sur les terres glaciales de la mythologie nordique, il a rangé les dagues, les fouets et les chaînes à la cave pour vivre une vie équitable, faire du sport, manger bio et habiter dans une hutte écoresponsable. Comme quoi, la vieillesse est vraiment un naufrage.

Resident Evil 2 - La nuit a dévoré Raccoon City

Il pleut sur la ville de Raccoon City comme il pleure dans le cœur de Leon Kennedy, un jeune policier qui aurait aimé entamer sa première journée de travail sans que des zombies increvables ne se dressent sur son chemin. Pour survivre au milieu du chaos, il dispose d’une arme de poing et d’un couteau de combat, ainsi que d’un inventaire réduit qui le contraint à ne garder que le strict nécessaire sur lui.