14 résultats pour "chasse peche nature et radiations"

C'était ça, une « pure soirée entre potes » au Moyen-Âge. Pas de téléphone portable, pas de musique « lounge » en fond sonore, et un demi-bol de cidre maximum par personne. Ils avaient tout compris. À quel moment notre civilisation a-t-elle dérapé ?
Medieval Dynasty - Chasse, pêche, nature et micro-gestion

J'en ai ras le cul d'être le héros qui sauve l'univers de la 594e invasion alien du millénaire. Ras le cul d'être un pilote de Formule 1, un général quatre-étoiles, un leader de colonie spatiale, un maire de mégapole, un roi carolingien. J'aspire à une vie simple. Je veux juste un cabanon, un petit champ de carottes et regarder le soleil se coucher sur la forêt pendant que mon ragoût de lapin mijote dans la marmite.

Mon gang et moi découvrant la savane. Je nous appelle la Chimpanzer Division.
Ancestors : The Humankind Odyssey - Dans la jungle, terrible jungle

Ancestors est le nouveau projet de Patrice Désilets, ce Québécois que l'histoire du jeu vidéo retiendra comme l'inventeur du concept d'Assassin's Creed. Après avoir enrichi la famille Guillemot bien plus que n'importe quel DLC pour Rainbow Six : Siege, il s'est mis à son compte et part sur une idée étrange : celle de nous mettre à la tête d'un clan de primates à l'aube de l'humanité.

Les conseils juridiques de Grand Maître B. : La chasse ? C'est pas sorceleur.

Chez Canard PC, on aime rendre service. Vous êtes un héros de jeu vidéo qui hésite à se lancer dans une aventure pour une question de droit, un simple PNJ inquiet de sa situation professionnelle ou un monstre qui se pose des questions d'ordre juridique ? Grand Maître B., avocat au barreau de Paris, répond à vos questions.

Final Fantasy 16 - L'enfer est pavé de bonnes invocations

Final Fantasy 16 s’ouvre sur une pleine lune, un astre qui domine un ciel sombre s’étendant par-delà océans, montagnes et forêts ; une esquisse d’une terre meurtrie qui reprend son souffle avant de succomber à la folie des hommes. Alors que des intrigues de cour se fomentent dans les couloirs délaissés et que les capitales s’apprêtent à s’embraser, des amours de jeunesse s’épanchent sur le balcon d’une citadelle, déclamant des prières d’éternité face à la nuit comme seul juge. Des mots légers mais sincères qui disparaissent dans le noir, une antichambre de la destruction en marche.

Oui, c’est bien le visage de Lord Monckton qui orne les billets de banque sur la boîte du puzzle. (Crédit photo : Matthias Zarzecki)
Les puzzles Eternity - L’histoire du Lord anglais qui a mis tous les joueurs en émoi. Deux fois.

Pour vendre un jeu, il faut en ciseler tous les aspects. Capter l’intérêt et créer l’engouement par le bouche-à-oreille est un défi complexe. Aucun raccourci facile ne peut permettre de rencontrer un large public ; seuls la qualité et le souci du travail bien fait comptent. Ou alors, il existe la recette des puzzles Eternity, qui consiste à mettre en jeu un gros paquet de pognon. Ça marche aussi.

Les évasions barbares

Ils ont poussé comme des champignons mutants. En l’espace de trois ans, leur nombre a décuplé. Et pour une fois, le terme est utilisé littéralement : à Paris, ils étaient trois fin 2013, ils sont désormais, fin 2016, une trentaine. Les jeux d’évasion grandeur nature, live escape games, que notre rédacteur en chef bien-aimé préfère appeler « résolutions coopératives d'énigmes en milieu clos » parce qu’il se la raconte, ont pris d’assaut la capitale (cette fois-ci, pas littéralement), et commencent à essaimer outre-périphérique, jusque dans les régions de France les moins densément peuplées. Alors, selon la formule consacrée, nous allons poser les questions qui fâchent : qui sont-ils ? quels sont leurs réseaux ? et surtout, ces gens méritent-ils vraiment notre argent ?

Phantom Doctrine - L'espion qui merdait

Tout a commencé la nuit du 14 août. À trois heures du matin, un appel imprévu me tira du lit. Mes « Allô ? Allô ? » ensommeillés ne reçurent pour toute réponse que des sanglots qui sentaient la bière et les embruns du Finistère. « Guy ? Qu'est-ce qui se passe ? » Seul me répondit un long cri bestial, entre le rhinocéros estropié et l'ourse qui a perdu ses petits, avant que je me fasse raccrocher au nez. Je ne compris que le lendemain la raison de ce coup de fil, quand Steam me prévint que la veille était sorti Phantom Doctrine, ce jeu qui avait motivé Guy Moquette à quitter la rédaction de Canard PC pour avoir plus de temps à lui consacrer. Les poings serrés, un bras vers le ciel, je jurai de tirer toute cette histoire au clair. Je le devais à Guy Moquette.

Subnautica - La palme d’or

Rares sont les jeux qui parviennent à exploiter avec succès le thème de la plongée sous-marine. Encore plus rares sont ceux qui, comme Subnautica, m’ont fait me sentir, avec un plaisir égal, successivement dans la peau de Robinson Crusoé, de Brady Barr et de Valérie Damidot.

Grille du numéro 378
La grille de Maîtresse Paule Cul

Retrouvez en kiosque le nouveau livre de Maîtresse Paule Cul : Ta tête est malade ? Parle à Maîtresse Paul Cul ! (ou l'inverse) – 0,05 bitcoin (oui, pour une cryptomonnaie t'as plus rien).

Roccat Kone Air

Roccat continue l’avancée de sa gamme de souris Kone avec un nouveau modèle de milieu de gamme, la Kone Air. Plus sobre que ses sœurs avec une unique et discrète LED sur le dessus, elle cache pourtant bien son jeu.

Starfield - Bethesdine et bethesdouilles

Voici les cinq derniers messages qui s’affichent sur mon téléphone : « Alors, Starfield ? », « C’est comment, Starfield ? », « Starfield, j’achète ? », « Ça vaut quoi Starfield ? » et « Starfield 10/10 ? » suivi d’un émoji clin d’œil. Pas un seul « Salut, j’espère que tu vas bien » ou « Hello ackboo, juste pour te dire que j’apprécie notre amitié et que je me sens privilégié de t’avoir rencontré ». Alors bon, puisque je ne sers plus qu’à ça, voici le test de Starfield.

Animal Crossing : New Horizons
La caravane patche de juillet 2020 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois
Call of Cthulhu: The Official Video Game - Poissonnerie à moitié dans ton lit

Polypes partout, justesse nulle part. C'est là le grand paradoxe de Lovecraft : alors que son imaginaire est omniprésent dans la culture populaire, que la tronche tentaculée de Cthulhu orne plus de mugs et de T-shirts que celle de Mickey Mouse, que nombre d'œuvres font référence de façon plus ou moins discrète au Mythe, personne ou presque n'ose se lancer dans une authentique adaptation de l'œuvre du déconneur de Providence. C'est vrai au cinéma (on espère toujours que Guillermo del Toro nous vengera un jour des nanars lubriques de Stuart GordonNote : 1), ça l'est aussi dans le jeu vidéo. Alors, quand débarque Call of Cthulhu: The Official Video Game, treize ans après Dark Corners of the Earth – et plus de quatre après la première annonce de son développementNote : 2 –, les attentes sont fortes et la barre placée très haut.

Note 1 : Regardez quand même son Dagon si vous en avez l'occasion. Il a beau être aussi mal joué que filmé, l'ambiance est réussie et, pour une fois l'obsession de Gordon à vouloir glisser du cul partout s'intègre bien dans le scénario, Le Cauchemar d'Innsmouth traitant de contamination et d'hérédité.
Note 2 : Par Frogwares, Cyanide ayant repris le bébé en cours de route.

Vogel, les nerds : la méthode Spiderweb Software - Portrait du petit artisan du jeu de rôle

Vingt-quatre jeux sortis, des avis Steam toujours dithyrambiques, plusieurs récompenses décernées par la presse spécialisée, une communauté de fans acharnés, un récent Kickstarter financé à 300 % : dans le milieu des jeux vidéo, le palmarès de Spiderweb Software fait des envieux. En 25 ans d'existence, ce studio indépendant a résisté à toutes les tempêtes qui ont secoué l'industrie. Sans jamais changer de cap ni revoir à la hausse ses modestes ambitions.