9 résultats pour "les luminaires"

Supermarket Simulator - Mon ambition ? Le feuilleté au jambon

Pourquoi. Voilà le mot qui me vient à l'esprit lorsqu'à la nuit tombée, tandis que je me glisse dans mes draps en percale de coton et que j'éteins la lumière, je me retrouve seul face à mes pensées, seul face au constat accablant d'avoir passé six heures de ma journée dans Supermarket Simulator.

La Citadelle de Half-Life 2, aussi menaçante que doit l'être tout bâtiment administratif.
Du forgeron invisible au coiffeur de l'ombre - Je me suis posé des questions et je n'aurais vraiment pas dû

Pour estimer la qualité et la cohérence d'un univers de jeu vidéo, une frange particulièrement extrême de rôlistes se pose la question suivante : « Qu'est-ce que les gens mangent ? » Si le joueur trouve une réponse satisfaisante lors de son exploration, par exemple des champs cultivés, du bétail ou des silos à grain, alors la logique du monde est sauve. L'astuce se décline en tout un tas de variantes inoffensives : « Où est-ce que les gens dorment ? », « où puisent-ils leur eau ? » et « où travaillent-ils ? ». Hélas, de dangereux déviants ont perverti cette méthode avec des obsessions douteuses et un absurde souci du détail. Moi, par exemple, la question que je n'arrive pas à me sortir de la tête, c'est : « Qui a décidé qu'il devait y avoir des pics, là ? »

KeeperRL - Maître carré

Il n’y a pas que les nains de Dwarf Fortress qui ont le droit de construire des labyrinthes souterrains enchevêtrés. KeeperRL invite également les liches, les sorciers et les gobelins à la fête. En ressort un jeu réjouissant, plus accessible que la moyenne, mais qui revêt encore les atours d’un autre temps.

Sons of the Forest - Une belle balade dans la forêt en chantier

Hier, j'étais tranquillement en train de chasser des élans à la grenade. Tandis que je dépeçais ma première proie, je me suis fait attaquer par une meute de fétus humains difformes. Je les ai éventrés à la hache. En revenant, je suis tombé sur un village d'autochtones. J'ai tué tout le monde à coups de fusil à pompe avant de brûler les cadavres, juste pour le fun. Parfois, je me demande si je suis vraiment, comme je l'ai écrit sur mon profil Tinder, une belle personne.

Kazaplan

Un inventaire des jeux vidéo Indiana Jones - Leur place est dans un musée

Si, côté cinéma, la carrière de l’homme au chapeau mou et au fouet encore plus mou est une longue chute dans le vide depuis des débuts glorieux jusqu’à des navets innommables, son parcours dans le jeu vidéo est plus chaotique. Après une décennie de tâtonnements, il a été la star de plusieurs chefs-d’œuvre, avant de se planter au moment même où il avait tout pour réussir. Penchons-nous au chevet du professeur Jones pour comprendre pourquoi, comme beaucoup d’universitaires, il n’a pas eu la carrière qu’il méritait.

Comment les indés renouvellent l'horreur - « Les atrocités de la vraie vie sont à l'origine de nos histoires »

Plus que jamais, l’horreur a le vent en poupe : côté gros éditeurs, les remakes continuent de se multiplier, et on ne compte plus les annonces de AAA qui promettent de vous plonger dans le noir en mauvaise compagnie. Mais à force de céder aux sirènes des clichés, des jumpscares faciles et des mécaniques éculées, le genre est en danger de s’affadir. Heureusement, une nouvelle scène indépendante est en train d’émerger avec tout un arsenal d'idées nouvelles.

SimCasino - Tant que je gagne, je joue

J'imagine qu'après SimAirport, les développeurs de LVGameDev ont loué un minibus et se sont baladés au hasard. Ils sont passés devant un pénitencier et se sont dit « Non, il y a déjà Prison Architect ». Devant la clinique : « On ne fera pas mieux que Project Hospital ». Devant le parc d'attractions : « Planet Coaster est intouchable ». Puis ils se sont garés sur le parking d'un casino. Leurs yeux se mirent à briller.

Hotel Renovator - Un cinq étoiles avec des punaises de lit

Dans la vraie vie, quand mon grand-père est mort, j'ai hérité d'un vélo rouillé et trois actions Eurotunnel (valeur : 45 €). Dans le monde magique du jeu vidéo, c'est une autre affaire : mon papy virtuel m'a carrément laissé un hôtel de quatre étages en plein centre-ville et 100 000 dollars d'argent de poche.