256 résultats pour "rogue dur"

Streets of Rogue - Rogue dur

Mon gorille est mort. Le pauvre n'a pas eu une vie facile. Dès qu'il passait devant un laboratoire, il se faisait courser par des scientifiques bien décidés à le remettre en cage. En plus, avec ses gros doigts, il n'arrivait pas à appuyer sur la gâchette d'un flingue. Alors quand il a décapité d'un coup de patte le voleur qui lui avait piqué sa banane et que les flics ont débarqué, il n'a pas fait long feu face à leurs pistolets. Mortellement touché, il a tout de même réussi à se traîner jusqu'à une pharmacie pour acheter de quoi panser ses plaies. Malheureusement, la pauvre bête était incapable de parler anglais, et l'apothicaire n'a rien compris à ses grognements. Alors il a crevé comme un chien, juste devant le comptoir. Sale histoire. La prochaine fois je jouerai plutôt un banquier cocaïnomane ou un cannibale.

Jupiter Hell - Tour par tour de magie

Bonjour et bienvenue dans notre cours « ce qu'il ne faut pas faire quand on est développeur indé. » Première leçon : ne violez pas la propriété intellectuelle d'une franchise archi-célèbre, vous auriez des ennuis. Deuxième leçon : de grâce, ne codez pas votre moteur 3D vous-même, vous perdriez des années à réinventer la roue. Troisième leçon : ne faites pas attention à Kornel Kisielewicz, qui a tout réussi en faisant exactement le contraire.

Le grand plaisir du jeu : récupérer les meilleures pièces détachées des ennemis vaincus.
Cogmind - Aïe, Robot

Galvaudé, usurpé, maltraité, le terme rogue-like ne veut plus dire grand-chose aujourd'hui. N'importe quel jeu qui n'autorise pas les sauvegardes s'en voit immanquablement affublé. Que cessent ces salamalecs ! Voici donc un vrai rogue-like, un pur, un dur, un authentique, avec le moteur graphique d'un Minitel et une interface de traitement de texte des années 1980.

Black Future ’88 - Fête de la tous synth

Gwent : Rogue Mage - Bien lire le Doc avant usage

Il fait un soleil magnifique sur cette plage de sable blanc. Bercé par le va-et-vient des eaux turquoises, je découvre Rogue Mage avec un inconnu, à l'ombre d'un palmier. Il sirote son cocktail dans une noix de coco, pose une carte et d'un coup, tout devient flou. Des lumières dansantes apparaissent et j'émerge dans le monde réel pendant qu'un type me gifle et m'appelle en boucle.

Warhammer 40K : Rogue Trader - Vente aux en chair

C'est quand même tragique : jamais je n'ai vu autant de jeux Warhammer 40K au mètre carré que durant cette Gamescom, la première depuis le départ de Kahn Lusth. À quelques pas du Space Marine 2 de Saber Interactive (dont on ne m'enlèvera pas de la tête que le héros a une tête de médecin candidat LR dans la région PACA), Owlcat Games présentait, tout fier, son Rogue Trader.

Warhammer 40 000 : Rogue Trader - Starfield revient. Je me comprends.

Après deux immenses jeux de rôle Pathfinder excellents-mais-un-peu-trop-longs, le studio Owlcat Games revient avec un RPG adapté d’une licence encore plus prestigieuse, celle de Warhammer 40 000, le jeu de figurines le plus populaire du monde. Alors, Rogue Trader mérite-t-il lui aussi le glorieux et très prisé qualificatif d’excellent-mais-un-peu-trop-long que les studios du monde entier s’arrachent ?

Hitman, The Last of Us, God of War : quand les AAA se lancent dans le trafic de rogue

Depuis un peu plus d’un an, les productions de premier plan se servent de mises à jour, de DLC payants et de remakes pour s’injecter une bonne dose de roguelike et retrouver une seconde jeunesse. Le pire, c’est que ça marche plutôt bien.

Deathloop - Alors, si j'ai bien compris...

Alors, si j'ai bien compris, Deathloop est une sorte de... rogue-lite. Ah non, attendez, ils ont dit qu'il faut pas dire rogue-lite... C'est pas un rogue-lite, c'est plus une sorte de Dishonored avec des flingues, mais pas comme Dishonored, plus une sorte de Hitman avec des éléments de Zelda : Majora's Mask avec des boucles temporelles. Bon, ok. J'ai rien compris.

Scourgebringer - Je le trouve un peu nerveux

« Ouh là, c'est pas pour moi ce truc-là », m'a dit Louis-Ferdinand Sébum, jamais à une lâcheté près quand il s'agit de se défausser d'un jeu un peu dur, me laissant seul et bien pantois devant un titre qui n'avait pas l'air fait pour moi non plus, avant de repartir en claudiquant pour jouer à The Longing. « Ouh là, c'est pas pour moi ce truc-là », ai-je dit également avant de m'y mettre et de découvrir que, si, en fait, Scourgebringer était plutôt bien fait pour moi.

Everspace 2 - Cosmique de répétition

Le premier Everspace n’avait pas inventé l’eau tiède (ce privilège est réservé à Jean-Eudes Tiède, né en 1806), mais il avait prouvé une chose : tous les ingrédients habituels du rogue-like ont meilleur goût quand on les transpose dans l’espace. Miner, convoyer, combattre, explorer, c’est quand même plus chouette dans la banlieue de Saturne que dans celle de Montluçon. Alors quand Everspace 2 a débarqué sur Steam, j’étais dans les starting-blocks.

Quand on est poli, on ne dit pas « je ne trouve pas ça très joli » ou « je n'ai pas saisi l'intention des graphistes » mais « c'est quand même bien moche ».
Slay the Spire - La carte au trésor

On imagine souvent les développeurs de jeux vidéo comme des artistes maudits, prêts à tout pour donner la vie à leur vision fulgurante. Parfois, on peut aussi avoir l'impression que la conception de leur titre a été décidée en jetant des mots au pif sur un tableau blanc. « Arena-based sports dolphin brawler royale » ? Bof, trop classique. « military cartoon racing FPS » ? Non, pas assez pipou. « Rogue-like turn-based deck-building strategy RPG » ? Ah, là ça commence à devenir intéressant.

Quake, de Jonathan Blow
Et si les jeux changeaient de créateurs ? - On a (presque) testé pour vous

Les concepteurs de jeux vidéo ont chacun leur style. D'ordinaire, on ne s'en plaint pas. On est même heureux de profiter des créations de gens qui ont des goûts, des spécialités et des talents aussi marqués. Seulement, au bout d'un moment, ils finissent par devenir un peu prévisibles. On se doute que le prochain Paradox Interactive sera un jeu de stratégie. Que le futur Id Software sera un FPS. Tant de potentiel gâché ! Alors on s'est amusé à imaginer quelques possibilités. Et parce que les idées idiotes sont encore meilleures quand on les partage, dès que vous aurez fini notre article, on vous invitera à nous proposer les vôtres.

Children of Morta - Une famille en morts

« Tous les héros de Children of Morta appartiennent à la même famille, et leur gameplay est à l'image de leur personnalité. Le père est le protecteur du clan, il a donc un bouclier. Sa fille adolescente, pleine d'énergie, est une pyromancienne. Son fils, timide et introverti, utilise la discrétion. » C'est fou comme on peut, en forçant à peine, trouver du sens dans n'importe quoi, et même dans le gameplay des personnages d'un hack'n'slash. Vous allez voir que demain on va apprendre que les javelots de l'amazone de Diablo II représentent le phallus d'un Œdipe mal résolu et que si le barbare saute tout le temps, c'est parce qu'il souffre d'un trouble de l'attention.

Kingsway - Fenêtre d'opportunité

En 1998, Patrick Juan Carlos (le nom a été modifié), jeune entrepreneur fringant et en bonne santé, décida de lancer sa propre chaîne de restauration rapide, avec un concept original : pourquoi se contenter d'un simple burger quand on peut commander une pizza au burger aux lasagnes, ou un burrito avec assortiment raclette-kebab-fish and chips ? L'idée semblait goûtue et excellente, mais après 72 crises cardiaques en une semaine, la fermeture des restaurants fut ordonnée et Patrick sombra dans la ruine et l'oubli.

Tangledeep - Retors-gaming

Pour un bon trip régressif, certains aiment se préparer un bon chocolat chaud et le boire devant de vieux dessins animés, quand d’autres préfèrent mettre des couches et se faire fouetter. Une dernière catégorie, plus rare, demande 15 000 dollars et en récupère 32 000 pour développer un dungeon crawler à la mode 16-bit.

Decknight - Au doigt et à l’œil

Les secteurs sont moins linéaires qu'en apparence, avec parfois des missions à accomplir qui forcent le joueur à bourlinguer plus que de raison.
Shortest Trip to Earth - Suer n'est pas jouer

Tout le monde sait ce qui s'étend à l'est de la France : une contrée froide et dangereuse, où la vie est rude et les jeux vidéo exigeants. À l'Est, on ne pond pas des FPS hollywoodiens ou des RPG bucoliques, non. À la place, on élabore des simulateurs d'infanterie pointus et des jeux d'aventure létaux, comme on fabriquerait des pièges. Or, avec Shortest Trip to Earth, des Estoniens comptent bien montrer que si les hommes de l'Ouest peuvent se contenter de la simplicité d'un FTL, les surhommes slaves ont, eux, besoin de jeux d'un autre calibre. Mais complexifier FTL le rend-il vraiment meilleur ?

Grille du numéro 409
La grille de Maîtresse Paule Cul

Retrouvez en cyberkiosque le nouveau livre de Maîtresse Paule Cul : Appelez-moi maîtresse PC (pour les canards intimes) – 1 pticoin (oui, pour une PQmonnaie t'as plus rien).

Stone Story - Un jeu qui a du caractère

Pendant que les grands éditeurs brûlent des fortunes pour obtenir des graphismes photoréalistes, certains studios optent pour une approche plus humble. Depuis près de cinq ans, Gabriel Santos cisèle, lettre après lettre, un jeu tout en ASCII d'une beauté surprenante, qui nous intrigue beaucoup chez Canard PC. Zieuter le projet avec incrédulité a fini par payer : le mois dernier, on a enfin réussi à poser nos pattes sur cet objet bizarre qui tente de repousser les limites du jeu de rôle en même temps que celles du tolérable pour les yeux.