7 résultats pour "mini test duke nukem 3d 20th anniversary world tour"

L'ogre, à l’époque où Quake était encore un jeu médiéval-fantastique. Dans la version finale, il aura un lance-grenades, histoire de moderniser un peu les récits des frères Grimm.
Quake

« En fait, Quake, c'est un peu du Alain Robbe-Grillet », expliqué-je à l'infirmier psychiatrique qui entre dans ma chambre capitonnée pour faire ma toilette. Bien sûr, comme d'habitude, il ne m'écoute pas et se contente de m'injecter un calmant. Mais comment lui en vouloir ? Quel rapport, à première vue, entre un jeu dans lequel on explore des corridors obscurs avec un lance-grenades à la main et le pape du nouveau roman, qui a révolutionné la littérature en décrétant que toute prétention au récit ou à l'objectivité et l'espoir même de créer un personnage cohérent ou de se référer au réel, était une chimère ? Et pourtant...

Jeu vidéo et handicap - De l’évolution récente de l’accessibilité aux jeux vidéo - Canard PC Hardware 44

« Vous serez chargé(e) de jouer à Zelda sur Nintendo Switch sous l’autorité d’un supérieur tétraplégique. Vous serez globalement en autonomie (bien que scrupuleusement observé(e) à tout instant). Votre supérieur se permettra d’ingérer ponctuellement dans votre travail pour exprimer d’éventuelles envies de quêtes annexes. (…) D’éventuelles heures supplémentaires sont à prévoir en cas de boss récalcitrant. »

Les portages de Doom - Supports de Satan

Si Doom est à jamais associé au PC et d'ailleurs en grande partie responsable du succès de ce dernier comme plateforme de jeu, il s'agit aussi de l'un des titres portés sur le plus grand nombre de plateformes différentes.

Le modding de Doom - C'est le wad que je préfère

Le succès de Wolfenstein 3D a pris id Software de court. Personne dans l'équipe n'avait imaginé qu'un jeu vendu directement en shareware pouvait rapporter 100 000 dollars (de 1993, soit près de 200 000 dollars de 2021) par mois. Mais il n'y a pas qu'avec leurs portefeuilles que les joueurs de Wolf ont surpris id. Des versions modifiées du jeu ont commencé à apparaître, donnant à John Carmack une idée révolutionnaire pour son prochain titre.

Le FPS après Doom - À la conquête du monde

Dresser une liste exhaustive des FPS (ou plutôt des « Doom-like », comme on disait à l'époque) sortis après Doom est totalement vain. Tentons plutôt de procéder à une sélection chronologique permettant de comprendre l'influence de Doom sur l'histoire du jeu vidéo en général, et du shooter en particulier.

Doom 3 - Un retour dans l'ombre

Le 1er juin 2000, John Carmack poste sur Internet une note détaillant ses dernières réflexions et ses projets pour les mois à venir – un de ses « plans » comme il les appelle, sans doute pour ne pas utiliser le mot « blog ». Rien de très original : Carmack publie régulièrement ses notes, qui sont suivies avec intérêt par ses fans et la communauté des développeurs de jeux. Mais celle-ci va faire l’effet d’une bombe : on y apprend qu'un remake de Doom est dans les tuyaux et que le projet, encore en préproduction, a déjà failli faire exploser id Software.

Delta Force - À la guerre comme à naguère

Les FPS des années 1990, c'est le moins qu'on puisse dire, n'étaient pas très portés sur les grands espaces. Wolfenstein 3D a pour décor un château, Doom se déroule dans les profondeurs de l'Enfer, Quake aux tréfonds d'une dimension glauque où le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle texturé en 64 × 64 pixels. Pour des raisons à la fois techniques (le hardware de l'époque ne pouvait pas afficher des décors très ouverts) et culturelles (le FPS, dont le premier avatar sérieux avait pour nom Catacomb 3-D, est un descendant du dungeon crawler), on y explorait plus volontiers des couloirs obscurs que des prairies ensoleillées. Même dans les rares lieux un peu plus aérés, comme les villes de Duke Nukem 3D, les distances de vue et de tir restaient faibles : on se battait toujours dans un mouchoir de poche. Tout du moins jusqu'en 1998, quand un développeur du nom de NovaLogic s'est mis en tête de créer un FPS militaire.