25 résultats pour "jeux de sous marin 35 ans sous les mers"

Les jeux qu'on attend en 2019 - (et pas forcément pour les bonnes raisons)

Depuis que Noël Malware, « l'homme qui met 9/10 plus vite que son ombre » comme on l'appelle iciNote : 1, est arrivé à la rédac, beaucoup de choses ont changé. Les rédacteurs, jusqu'ici gris et blasés, qui à l'annonce d'un nouveau jeu se contentaient de maugréer « ouais, bon, c'est un jeu quoi » en écrasant leur clope au fond d'une tasse de café froid, sont redevenus enthousiastes. Joviaux. Ils prennent même parfois – horreur ! – du plaisir en découvrant de nouveaux jeux et en posant leurs mains dessus. Pire, ils se sont mis à ATTENDRE des jeux, à avoir hâte d'y jouer. C'est donc une rédaction toute excitée qui a dressé la liste, sur quelques pages, des titres qu'elle attend le plus en cette année 2019.

Note 1 : Chez Épris de Justice (cpc.cx/eprisdejustice), on l'appelle « celui qui a le numéro de tous les égorgeurs de l'Essonne », mais c'est une autre histoire.

Warhammer 40 000 : Rogue Trader - Starfield revient. Je me comprends.

Après deux immenses jeux de rôle Pathfinder excellents-mais-un-peu-trop-longs, le studio Owlcat Games revient avec un RPG adapté d’une licence encore plus prestigieuse, celle de Warhammer 40 000, le jeu de figurines le plus populaire du monde. Alors, Rogue Trader mérite-t-il lui aussi le glorieux et très prisé qualificatif d’excellent-mais-un-peu-trop-long que les studios du monde entier s’arrachent ?

Warren Spector, le rôliste

Dans les années 1990, Warren Spector était – selon ses propres termes – un jeune développeur punk, qui allait mettre son talent au service de jeux tels qu’Ultima VI, System Shock et Thief. Aujourd’hui, il est – toujours selon ses propres termes – l’un des plus vieux développeurs qui soient. Et il traîne derrière lui une longue liste d’accomplissements, comme la popularisation du gameplay émergent avec Deus Ex et une participation cruciale à la définition de ce qui fait un bon immersive sim. Chacun de ses faits d’armes semble fondé sur un même désir : celui de laisser les joueurs devenir les narrateurs de leurs propres histoires, plutôt que les soumettre aux caprices d’un développeur tout-puissant.

Pokémon Ultra-Lune et Ultra-Soleil - Le retour de la vengeance

Résumé des épisodes précédents : au cours de ces dernières années, mon métier m'a offert l'occasion, à trente ans passés, de découvrir le monde merveilleux des petits monstres à attraper. De Yokai Watch à Pokémon, j'ai enfin pu m'adonner pleinement à des joutes conviviales, mais aussi découvrir les affres d'un modèle économique qui permet aux éditeurs de vendre quatre fois le même jeu aux plus compulsifs des collectionneurs. Autant vous dire que pour Pokémon Ultra-Lune, j'étais prête à déverser ma haine d’un modèle économique qui corrompt tout ce qu’il y a de plus beau et de plus pur en ce bas monde.

Lorsque l'herbe recouvre les décors, Elex est presque beau. Mais dans les environnements plus secs comme le désert, le côté très anguleux du relief rappelle presque les MMORPG des années 2000.
Elex - Le pot-pourri du jeu de rôle

Vêtu d'une armure viking, je tabasse un tyrannosaure à coups de hache entre deux vols en jetpack. Mon camarade d'aventure porte une combinaison futuriste et mitraille au fusil laser en buvant des potions de mana. Derrière nous, une carcasse de Humvee rouillée. En arrière-plan, un motel en ruine des années 1980. Voilà le genre d'ambiance éclectique qu'offre Elex.

Les évasions barbares

Ils ont poussé comme des champignons mutants. En l’espace de trois ans, leur nombre a décuplé. Et pour une fois, le terme est utilisé littéralement : à Paris, ils étaient trois fin 2013, ils sont désormais, fin 2016, une trentaine. Les jeux d’évasion grandeur nature, live escape games, que notre rédacteur en chef bien-aimé préfère appeler « résolutions coopératives d'énigmes en milieu clos » parce qu’il se la raconte, ont pris d’assaut la capitale (cette fois-ci, pas littéralement), et commencent à essaimer outre-périphérique, jusque dans les régions de France les moins densément peuplées. Alors, selon la formule consacrée, nous allons poser les questions qui fâchent : qui sont-ils ? quels sont leurs réseaux ? et surtout, ces gens méritent-ils vraiment notre argent ?

Le jeu vidéo en prison - La grande évasion

Dans une salle de spectacle où règne un silence religieux, une petite dizaine de personnes s’affrontent à tour de rôle sur Fifa 18. Entre chaque match, des observateurs se fendent d’un petit commentaire sur les tactiques des participants, d’un conseil avisé (« Prends l’Allemagne, c’est eux qui vont gagner la Coupe cette année »), d’une plaisanterie teintée de régionalisme breton (« Choisis plutôt Guingamp, allez ») ou d’un pronostic. Parfois, un cri de joie vient troubler la profonde quiétude de l’événement, qui ressemblerait finalement à n’importe quel tournoi Fifa s’il ne se déroulait pas dans le quartier socio-culturel d’une prison.

La caravane patche de juin 2021 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois

Sous les projos : Elite Dangerous. C’est vraiment un petit pas de rien du tout pour l’humanité, mais c’est un grand pas pour Elite Dangerous : après sept ans, le simulateur de vaisseau spatial donne enfin à ses joueurs la possibilité de sortir de leur vaisseau pour explorer la surface des planètes.

Downforce - On tape dans les caisses

En bon amateur de jeux de plateau, un de mes fetishs consiste à ressortir de temps à autre un jeu qui a bercé mon enfance, comme Hero Quest ou L'Île infernale. Non pas pour une simple question de nostalgie, mais tout simplement parce que ces jeux ont la particularité de se prendre très facilement en main, en étant toutefois dotés de petits twists qui les rendent amusants. Une candeur toujours appréciable entre deux parties de jeux « modernes » avec leurs livres de règles de 35 pages, que Downforce a su conserver, après plus de vingt ans d'absence.

Le Donjon de Naheulbeuk : L'Amulette du Désordre - Attention, jeu vraiment de rôle

Mettons tout de suite les choses au clair. Le Donjon de Naheulbeuk : L'Amulette du Désordre est un titre bien trop long, lorsque notre métier consiste à synthétiser un maximum d'informations en un minimum de mots. Aussi, celui-ci sera appelé « ADD » dans ce test, afin de gagner un maximum de place pour des choses bien plus importantes, comme cette intro qui... Bon, ok. C'est vrai que j'ai perdu beaucoup de place pour rien, là.

Les source ports - Entre tradition et modernité

« Si tu aimes quelque chose, rends-lui sa liberté. » Fidèle à ce principe, ce vieux libriste libertarien de John Carmack a pris l'habitude de passer le code source de tous ses jeux sous open source sitôt qu'ils n'étaient plus susceptibles d'exploitation commerciale. Une décision sans laquelle Doom aurait peut-être sombré dans l'oubli, et qui a donné à des milliers de développeurs l'occasion de réaliser le fantasme qui habite tout codeur depuis 1993 : améliorer Doom.

Dragon Ball Z : Kakarot - Le regard tourné vers Namek

Dragon Ball n'est plus un manga depuis longtemps. C'est devenu une religion dont les exégètes examinent les textes, décortiquent les messages et analysent, sans jamais se lasser, la technique irréprochable de l'auteur. D'ailleurs, comme la Bible, l’œuvre de Toriyama ne fascine pas tant par sa perfection que, à l'inverse, par son incohérence qui permet à toutes les chapelles de se foutre sur la gueule pour déterminer qui, de Broly, de Son Goku, de Gogeta, de Jésus-Christ ou de Moïse, est le plus fort. Alors qu'en fin de compte, tout le monde le sait, mais feint de l'ignorer : le plus fort, c'est Batman.

Ratchet et Clank : Rift Apart - La nouvelle génération

Vous voyez cet oncle sympa, pas le raciste, l'autre, celui qui se cale à côté de vous pendant que vous jouez à un jeu vidéo, une fois tous les 10 ans, et qui dit systématiquement : « Oh là là, c'est joli quand même ! Ça a bien évolué depuis mon époque ! » ? Bah cet oncle sympa, aujourd'hui, c'est moi. Je trouve que ça a bien évolué depuis mon époque. Sauf que mon époque, c'était la semaine dernière.

Comment le secteur du jeu vidéo se développe en Afrique - Une vue d'ensemble des productions de ces dernières années

En novembre dernier se tenait la cinquième édition du Festival de l'électronique et du jeu vidéo d'Abidjan (FEJA), initié par la société ivoirienne Paradise Game, qui vise notamment à promouvoir le jeu vidéo sur le continent africain – mais aussi à mettre en lumière ses différents développeurs et leurs productions, de Dahalo à Aurion : L'héritage des Kori-Odan en passant par Beautiful Desolation et Warshmallows.

Le TI-99/4A (1981).
Itinéraire d'un enfant 3D - Interview : Alexandre Hadjadj

Dans les années 1980, Alexandre Hadjadj écrivait des petits programmes en BASIC dans sa chambre du 14e arrondissement de Paris. Trente ans plus tard, ce très discret codeur français, qui n'avait jusque-là jamais accordé la moindre interview, occupe l'un des postes les plus prestigieux de l'industrie du jeu vidéo. En tant que technical director chez Rockstar, il chapeaute toute la partie graphique des jeux du studio. Vous vous êtes extasié devant la clarté des décors ou la pureté de l'antialiasing de Grand Theft Auto V ? Vous avez bavé devant les effets de lumière ou l'incroyable distance de vue de Red Dead Redemption 2 ? Alexandre Hadjadj et son équipe d'une trentaine de programmeurs spécialisés, repartie entre l'Écosse et les États-Unis, en sont les responsables. Nous nous sommes vautrés ensemble dans un canapé autour d'une assiette de cookies, et nous avons parlé avec lui de son métier, des moteurs 3D, des consoles, et de son chaotique parcours professionnel dans les méandres de l'industrie du jeu vidéo.

La petite histoire du Raspberry Pi - Canard PC Hardware 49

Depuis bientôt une dizaine d'années, nous vous proposons régulièrement des tests de cartes Raspberry Pi. Nous avons donc décidé de revenir sur l'histoire (finalement assez courte) de la fondation.

Enter the Gungeon
La caravane patche d'avril 2019 - Mises à jour notables et emplâtres sur jambes de bois
Cachez ce PC que je ne veux plus voir - Et encore moins entendre

Qu'est-ce que le vrai luxe bureaulogique ? Un écran gigantesque ? Un fauteuil ergonomique à 1 500 balles ? Un tapis de souris en peau d'hermine brodé à la main par des artisans péruviens ? Non, le vrai luxe, c'est le calme. Le silence. Le confort de lancer un jeu vidéo gourmand, d'affoler votre carte graphique de dernière génération, et de n'entendre que le chant des rossignols dans votre jardin.

Les Dents de la mer - “On va avoir besoin d’un plus gros plateau”

On n’en voudrait à personne de se méfier de l’adaptation en jeu de plateau d’un film comme Les Dents de la mer. Après tout, les adaptations foireuses, ce n’est pas ce qui manque et bientôt cinquante ans après la sortie du film, personne n’en avait exprimé le besoin. Pourtant, des myriades d’adaptations qui souillent les fonds marins, Les Dents de la mer flotte fièrement à la surface.

Stronghold : Warlords - Yourte nature

Il y aurait des livres entiers à écrire sur la joie du turtling, ce plaisir que l’on ressent lorsqu’on passe toute une partie de STR à multiplier les couches de murailles au lieu de partir à l’assaut de la base adverse. Le monde pourrait s’écrouler que je serais tout de même heureux d’aligner béatement des tours de guet derrière des fortifications déraisonnables. D’ailleurs ça tombe bien, le monde s’écroule plus ou moins et j’ai un nouveau Stronghold à essayer.