10 résultats pour "partez en vacances kawaii pokemon soleil et lune"

Pour que le sable ne soit plus une menace - Sélection d'accessoires du ludiste en vadrouille

Vous partez en vacances (ou pas) et vous avez sûrement déjà réfléchi à quels jeux emporter… Mais les transporter dans de bonnes conditions et ne pas galérer sur place pour y jouer, vous y avez pensé ? Petit guide des accessoires pour bouger bien équipé.

The Forgotten City - Cousu d'or

Vos potes sont partis en vacances ? Personne n'est là pour picoler avec vous ? Pour faire la fête tout seul, je vous recommande cet incroyable jeu à boire. Ouvrez le magasin Steam en français et regardez des jeux au hasard. Si les mots « boucle temporelle » figurent dans leur description, buvez une gorgée. Deathloop, Lemnis Gate, Quantum League, Kraken Academy, Twelve Minutes et, maintenant, The Forgotten City : dans cinq minutes, vous serez pété.

Like a Dragon : Infinite Wealth - Aloha du plus fort

Après une fantasque, attachante et bancale virée avec Kiryū Kazuma dans Like a Dragon Gaiden : The Man Who Erased His Name, nous retrouvons Ichiban Kasuga, bien planqué derrière son bureau d’agent d’Hello Work, le « Japon Travail » de l’Archipel. Like a Dragon : Infinite Wealth débute par une scène de l’ordinaire, qui revêt un intérêt primordial, tragique : comment survivre à la perte de son emploi, ainsi qu’au déclassement qui en résulte dans une société où tous les regards, davantage que les mots, vous dévorent.

Virtual Vacation

Vous connaissez peut-être déjà le jeu City Guesser, équivalent vidéo de GeoGuessr, dans lequel des gens marchent caméra à la main dans des villes qu'il faut reconnaître. Le site qui l'héberge propose aussi un tas d'autres services captivants.

Roguemance - Mady Meh-meh

Promotion canapé - Où l'on constate que la simplicité et l'intransigeance contre vents et marées, le refus du compromis, bref, le désintérêt total pour le concept même de souplesse, restent les meilleurs moyens de souder un groupe hétéroclite de personnes.

Vous approchez de la quarantaine, vous ne voyez plus que rarement vos amisNote : 1, ou alors vous les croisez vite fait, à peine le temps de se faire la bise, en allant acheter en urgence du PQ à douze euros à l'épicerie du coin. Vous en avez un peu marre, ça vous gonfle, ça vexe un chouïa votre fierté car dans le temps vous vous trouviez populaire, alors vous décidez d'organiser une soirée avec un peu de monde, à l'ancienne. Ne reste plus qu'à trouver le thème : les photos de vacances ? la salsa ? une excuse qui ne trompe personne du genre « j'ai obtenu une super promotion » ? Non, s'il vous plaît, vous vous rendez bien compte que tout ça ne vous attirera que de la pitié (la nôtre, déjà). Alors vous partez sur une soirée jeux vidéo. Et là, vous vous heurtez à un problème inattendu : le nombre de joueurs par jeu.

Note 1 : Pour nos lecteurs les plus jeunes (autrement dit les moins de trente ans) qui croient que ça n'arrive qu'à leurs parents, ceux qui n'étaient clairement pas assez cools : non.

There is no game : Wrong Dimension - Ceci n'est pas un test

Oups, désolé. J'aurais dû tester There is no game : Wrong dimension pendant les vacances, mais je n'ai pas du tout eu le temps. Du coup, vous pouvez directement passer à la page suivante. Il n'y a pas de test ici. Rien à voir. Circulez. Allez. Partez.

Les armées de l’ombre - Une vue d’ensemble des conditions de travail des traducteurs français

Dans le dernier numéro, nous tentions de vous expliquer comment les jeux étaient traduits, et pourquoi certains de vos AAA préférés étaient susceptibles de contenir au mieux des coquilles, au pire d’énormes maladresses – et comment nous étions passés de traductions foireuses réalisées par des développeurs à une professionnalisation généralisée du processus de localisation. À force de discuter avec des traducteurs français, indépendants comme salariés, plusieurs constats se sont dressés. Déjà, le fait que leurs conditions de travail n’allaient pas vraiment en s’arrangeant au fil des années. Ensuite, que comme beaucoup d’autres petites mains d’une industrie qui favorise la culture du silence, ils n’avaient pas toujours l’occasion de s’exprimer, que ce soit sur leurs joies ou leurs mécontentements. Pourtant, ce n’est pas faute de choses à dire.

Une petite histoire du cinéma numérique - Ou pourquoi on ne dit pas « 2K » pour du 2560×1440

Je vous dois d’emblée une clarification : à l’origine, cet article devait être une Page de la rage, qui me fut inspirée par la vision d’un énième malotru sur Internet ayant osé employer le terme « 2K » pour parler d’un écran 1440p. Et puis dans mon explication des raisons pour lesquelles non, crévindiou, en aucune circonstance cette appellation et cette définition d’image ne correspondent l’une à l’autre, je me suis finalement retrouvé à retracer de façon assez complète l’histoire du cinéma numérique. Parce que oui, figurez-vous, c’est bien dans les salles obscures que l’on a en premier pris l’habitude d’employer des K pour compter des pixels.

Laurent Victorino : développer un jeu vidéo avec des enfants

Faire un jeu vidéo entre adultes consentants et éduqués, c'est déjà compliqué. Alors imaginez ce que ça donne lorsque vos graphistes, ingés son et game designers sont des gamins de 6-12 ans. C'est pourtant ce qu'a tenté Laurent Victorino dans le cadre des activités du Musée d'Art contemporain de Lyon. Développeur confirmé (il a notamment travaillé sur Top Spin 3 et bosse actuellement sur Nightcall chez Monkey Moon Studio) et professeur dans plusieurs écoles de jeu vidéo, il nous raconte son expérience avec ces créatures effrayantes.