3 résultats pour "au doigt et loeil gear club"

Un moteur en colère - Et si l'Unreal Engine 5 rendait enfin les jeux plus beaux ?

De quand date votre dernière « claque graphique » ? Oui, c'est loin. Après une phase d'accélération vertigineuse dans les années 2000, la technologie du rendu 3D sur PC s'est mise à ronronner. Certains disent même que nous sommes rentrés dans l'ère post-graphique, où le nombre de polygones, la finesse des textures, le réalisme des environnements n'ont plus d'importance.

Metal Gear Survive - Survivra bien qui survivra le dernier

Nos spécialistes en tendance et en ère du temps ont déboulé dans le bureau les bras chargés de feuilles pleines de graphiques et de tableaux. Leurs grands gestes étaient formels : le test de Metal Gear Survive se situait très haut sur l’échelle de la tempête de caca. Pour cette mission, il fallait quelqu’un d’extérieur, dénué de relation passionnelle avec Metal Gear, susceptible d’aborder ce MGS avec candeur et bienveillance. Un œil neuf. Une âme pure. Izual était cette personne. Jusqu’à ce que je me planque dans un carton pour lui chaparder le test.

Gorasul : The Legacy of the Dragon (2001)
Les nanars du jeu de rôle - Une contre-histoire du RPG

Raconter l'histoire du jeu de rôle sur ordinateur, d'ordinaire, c'est faire une liste : celle des grands jeux qui ont marqué leur nom au fer rouge sur nos PC. On se contente d’égrener des titres comme Ultima, Fallout, Baldur's Gate, Morrowind, Mass Effect, Wasteland 2, The Witcher III et puis c'est rideau, merci et bien le bonsoir. Le problème, c'est que dans la légion des jeux tus par cette liste, dans la cohorte des non-dits, il y a toute une facette de l'histoire des jeux de rôle qui mérite largement d'être racontée. Se pencher sur les mauvais jeux sympathiques – les nanars – permet de dresser un portrait plutôt fidèle d'un genre qui a été façonné par les échecs, les grandes tendances suivies aveuglément, les pâles copies et le mauvais goût. Alors pour vous, on a plongé dans la fange. Des vieilleries obsolètes qui déglinguent les yeux aux camelotes modernes qui partent en vrille, on ne s'est rien épargnés. Tout ça, bien sûr, dans l'unique but d'obtenir une vision plus juste du jeu de rôle. Pas du tout de se moquer des jeux moches. Pas du tout.